Sereine...

C'est l'ambiance qui règne autour de moi en ce moment.
Un bon nettoyage au karcher, ça fait du bien.

De nouveaux repères qui se mettent progressivement en place, une Pioute à Paris pour les fêtes de fin d'année, un retour aux sources incontournable, ainsi que quelques jours de vacances.

Je commence à croire qu'après la pluie vient le beau temps, et c'est chouette !!

Playmobil....

... En avant les histoires !!!

Ouais sauf que celle-ci ne me fait pas trop rire, pour une fois !
Bon voilà, je me suis faite arrêter par la POULICE sur l'autoroute l'autre jour.
Parce qu'un débile mental roulait à 90km/h sur la file de gauche, et qu'il n'avait pas vraiment envie de se rabattre... Du coup, je l'ai collé, puis je l'ai doublé par la droite...

Et cinq minutes plus tard, je me faisais escorter par deux Playmobil Policiers sur plusieurs kilomètres, avant qu'ils me fassent sortir de l'autoroute, qu'ils m'emmènent à la police de l'autoroute... Qu'ils m'embrouillent pour des histoires de plaque d'immatriculation.

Dix minutes à peine pour me coller une amende de 90 euros, et retirer 3 points sur mon permis à points...
Le truc, c'est qu'ils ne m'ont pas filé la souche du PV, que ça s'est produit jeudi dernier, que nous sommes mardi, et que toujours pas de nouvelle dans ma boîte aux lettres.

Hum pour le coup, deux scénarii possibles :
- Ils ont voulu me faire peur

- Mais en fait non, puisqu'ils m'ont fait signer mon infraction, après m'avoir demandé de cocher la case comme quoi je reconnaissais les faits.

Donc, deux fins plausibles :
- Je vais recevoir mon amende incessamment sous peu

- Telle Joe la Poisse, je vais la recevoir un peu plus tard, majorée car non-payée dans les délais.

Pour le coup, je vois bien la deuxième situation se profiler à l'horizon.
Mais si c'est ça, foi de Mimi, je ne me laisserai pas faire !

Le verre à moitié plein ?

En relisant mon Blog, je me rends compte que je ne parle que de mes déceptions...
Normal, au début, c'était un peu la ligne éditoriale, "les malheurs de Mimi", "les cons de la vie de Mimi".

Mais ce soir, je repense à tous les hommes qui ont eu un comportement correct avec moi, qui ont fait battre mon coeur, même pas longtemps.
Mais pour qui je garde une pensée émue, ils tiennent tous une place un peu particulière dans mon coeur.

Bon, ça fait un peu cérémonie des oscars, mais il y a eu The Ozie, qui m'a abandonnée pour partir en Australie. Mais avec qui j'aurais adoré faire un bout de chemin. Pas possible de décrire ce sentiment qui me fait dire, encore aujourd'hui, qu'on aurait pu être heureux ensemble. Mais ça, je ne le saurai jamais malheureusement...
Ceci dit, on ne peut pas lutter contre le Destin...

Il y a eu Ltz, qui a fait battre la chamade à mon coeur, qui m'a redonné la foi, je me suis aperçue avec lui que les coups de coeur ça existe encore, tout comme les papillons dans le ventre.

Samuel, plus ami qu'amant, qui m'a tirée vers le haut quand j'étais au plus bas... mais dont les changements d'attitude ainsi que les silences radio sont bien trop fréquents pour faire partie de mon cercle restreint d'amis.
La légereté de notre relation, les discussions sans fin, c'était vraiment précieux pour moi.

L'Homme Intriguant, à qui j'ai consacré un article, et qui sera à jamais spécial.

Paolo, je dirais "histoire en cours"... Bizarre ce sentiment qui me traverse les tripes, et qui me fait dire que....
Je souligne son comportement correct, et son honnêteté.

Et aussi... Le petit djeun's qui m'a rendu le sourire et qui m'a fait me rendre compte que la vie pouvait être légère.

Et oui, comme quoi, dans la vie, il n'y a pas QUE des connards.
C'est bien de s'en rappeler.

.... AND THE WINNER IIIIIIISSSS.........

To be continued !

Retour aux sources...

... Des semaines que j'attends CE week-end.
J'espère qu'il va être bien. Mais avec des amis sincères, des gens que j'aime, ça ne peut être que bien.
Une bonne bouffée d'oxygène, c'est ce dont j'avais le plus besoin ! Chouette !

"Just a Perfect Day..."

Aujourd'hui, tout semble n'être que luxe, calme et volupté.
"Ssssshhhhhhhtttttt"....
Un bon thé, de la musique douce, un intérieur propre et agréable, de la nourriture équilibrée, un programme calme mais sympathique.
J'aime quand tout se passe si calmement.

"Dream is my reality..."

... Ou la vie et ses déceptions.

Il était une fois l'histoire de Mimi...
... Mimi et Décevante ont été très proches pendant plus d'une année.
Une relation limite fusionnelle, elle était mon amie, ma confidente.
On a vécu plein de choses ensemble.
Enfin, c'est ce que je croyais.

Quand son Internet est tombé en rade alors qu'elle était en recherche de taf, je lui ai prêté le double de mes clés d'appart, et elle avait libre accès à mon ordi et ma connexion Internet pendant plusieurs semaines.

Quand l'une de ses (très) proche s'est malheureusement faite rattraper par la fatalité, j'ai accouru chez elle pour être là, tout simplement.

Quand il a fallu partir en vacances un été et qu'on avait pas un rond, je l'ai invité dans le sud pendant une semaine chez mes parents.

Quand elle a eu besoin d'aller voir un psy, et qu'elle était au fond du gouffre, je l'ai aidée, j'ai sollicité mon entourage, et lui ai trouvé le nom d'un mec bien en quelques jours.

Quand un autre de ses proches a eu un grave accident, même si j'étais loin au moment précis du drame, j'ai toujours été là.
Je lui ai proposé mille et une choses, je pensais être un soutien pour elle.

Alors que je me rends compte que pour elle, c'était du vent.
Une personne de passage dans sa vie, voilà ce que j'ai été.
"Mimi the Clown".

J'ai toujours su qu'elle avait eu une petite aventure avec l'une de mes relations passées.
Me l'a-t-elle un jour avoué ? Bien sûr que non, c'est pas faute d'y avoir fait des allusions.
Et puis ce n'était qu'un baiser.

Je me rends compte qu'elle sait (presque) tout de moi, elle a partagé mon quotidien.
D'elle, à part les sacs, les chaussures et une aventure amoureuse, je ne sais rien.

Un jour, je lui ai avoué qu'un mec me plaisait.
Conclusion : elle l'a dragué toute la soirée, lui a filé son N° de téléphone, son adresse et son digicode dans mon dos, puis elle s'est mise avec sans même m'en parler.

Malgré cette histoire, j'ai pardonné et j'ai fait comme s'il ne s'était rien passé.

Parce que l'amitié pour moi, c'est sacré. Plus qu'une histoire de fesses en tout cas.

C'est vraiment décevant de se rendre compte à quel point les gens sont superficiels dans leurs relations avec les autres.

Cette fille, je lui ai tout donné, et surtout ma confiance.
En échange, qu'ai-je reçu ? Pas grand chose finalement, même si je ne renierai jamais les moments de complicité.
Mais qu'importe.

Le fait est qu'encore une fois, je me sens bernée et trahie.

"Life is a bitch". Certes.
Mais putain.

Si les hommes réfléchissaient avec leur tête...

... Ca se saurait !

Il y a quelques jours, une "vieille connaissance" vient me parler sur MSN... connaissance avec qui j'ai eu des relations sexuelles il y a plusieurs mois, dont je tairai le nom, mais son pseudo, c'est le Butterfly Catcher. Je dis ça, je dis rien.

On discute gentiment, il tenait à s'expliquer sur le comportement (inadmissible) qu'il a eu avec moi. Mieux vaut tard que jamais, mais pour ce que ça m'importe... Bref, ça avait l'air de lui tenir à coeur.

Il me dit qu'on a pas mal de points communs, que c'est dommage d'avoir perdu contact, et que ça lui ferait plaisir qu'on aille boire un verre un de ces quatre.
Je précise pour la petite histoire qu'il a une copine depuis le mois de juillet, dont il est amoureux, et il placarde son bonheur sur son wall facebook. Ça dégouline de mièvrerie en veux-tu en-voilà, mais ce n'est pas la question.

On discute de tout, de rien, du fait que les hommes ne me rappellent pas.
Il me sort un truc du genre "Mais je ne comprends pas pourquoi les mecs ne te rappellent pas, même pas pour un plan cul putain, t'es mignonne, t'es sexy, t'es un bon coup, en plus t'es sympa, drôle et pas prise de tête".
Hum... C'est censé être un "compliment" dans la bouche d'un homme ?
Sa maladresse me fait sourire, après tout rien de méchant dans ses propos (heureusement que je suis de bonne composition, me direz-vous !)

Puis, un peu plus tard dans la conversation il me balance :
"Bon alors c'est OK pour aller boire un verre vendredi soir ? Et puis tu sais, si jamais t'as besoin d'être dépannée sexuellement parlant, je peux toujours te rendre service... je suis un garçon serviable".

Pfiou non mais c'est quoi ces BLAGUES là ?
Comment est-ce que je peux encore garder la foi envers les hommes si c'est toujours la même conclusion ?

Heureusement que je ne suis pas binaire, que j'ai zéro tendance homosexuelle et/ou suicidaire, parce que sinon, ça ferait bien longtemps qu'on m'aurait retrouvée pendue au lustre que je n'ai pas, mais au moins les veines coupées dans ma baignoire !

Cependant, la même question, que je me permets de poser une nouvelle fois :
C'est QUAND le bonheur, PUTAIN ? :(

Pathologie de la Patiente Zéro...

... Bon ok, cette fois-ci c'est sûr, je les cherche, je les trouve, puis après je me plains.

Dommage, cette histoire avait plutôt bien commencé.
Il était une fois, au pays de Mimi... non bon, ok...

Alors un jour, au camp d'été...
Non plus...

Bref... Un soir, je traînais sur un site de rencontres, et envoyais des mails à des jeune-hommes charmants au demeurant.
Parmi les réponses, une qui me fait tiquer plus que les autres : celle de Paolo, 30 ans, Paris Ile-de-France.
Jusqu'ici rien d'anormal, sauf que si : son prénom pas commun, déjà croisé sur une fiche FaceBook, et pas n'importe laquelle, celle de GDP (GDP, coup foireux de l'année N-1, dans le palmarès des abrutis de la vie de Mimi).
Je tique donc, à la vue de sa signature et donc de son prénom.
Je cours sur FaceBook vérifier mes soupçons : Et BOUM, la vérité dans ma figure : Paolo, c'est bien le collègue de GDP, avec qui il semble être assez pote.

Je file essayer de regarder la fiche de Paolo, et que vois-je ? deuxième "coup de massue" : on a une amie en commun, Fuse, amie de longue date.
En bon Inspecteur Gadget que je suis, je cours vers mon amie à la pêche aux infos. Tenez-vous bien, Paolo, c'est un camarade de maternelle, avec qui elle a partagé des années de scolarité dans le Chnord, jusqu'au collège.

Incredible, isn't it ?

Bref, je vais boire un verre avec le fameux Paolo, et on parle de ces coïncidences surprenantes mais pour le moins marrantes.
Moi, je l'ai vraiment pris comme "je vais boire un verre avec le pote d'une connaissance, c'est bon enfant, tranquille, pas de jeu de séduction, arrête ton char Ben Hur, on a dit qu'on était en pleine période de ramad'homme".

Mouais enfin sauf qu'une Mimi a peu de volonté face à une paire d'yeux bleus, et que si on l'attrape à l'entrée du métro pour l'embrasser sauvagement, elle n'a d'autre solution que de se laisser faire.

FAIBLE FEMME C'EST VRAIMENT PATHETIQUE !!! (mais en fait non, c'est juste la vie, au diable les conventions).

Bref, je me moque de Paolo qui a loupé le dernier métro, et il me dit "ha c'est trop dommage, va falloir que je te raccompagne chez toi !"

"Ha bah ouais dis donc, c'est dommage, surtout que moi j'ai envie d'aller roupiller toute seule parce que demain y'a école"... Enfin ça, c'est ce que la petite voix à l'intérieur de moi a dit... Parce que ma voix à moi a répondu un truc du genre "BON D'ACCORD".

Mimiiiiiiiiiiiii qu'est-ce qu'on a dit ?
"Ne pas coucher avec un garçon le premier soir, ça fout en l'air toute crédibilité dans ce que tu pourras lui raconter par la suite"
"Mais oui mais ça s'est fait super naturellement"
"Bah on s'en fout ma foi, tu verras bien la suite de l'histoire"...

Enfin bon... Voilà, Paolo dort chez moi, le charme italien opère, on ne dort pas.
(entre parenthèses, je suis pour la journée de rattrapage des nuits blanches barroques... mais c'est une autre histoire !)
On se réveille, on se dit au revoir, comme c'est mignon. ou pas.

On garde contact, il part en WE dans sa famille, je fais le Pont à mon tour et on ne se voit pas.
Je rentre de "vacances", lundi soir, il dort chez moi.
Bon feeling, bonne nuit, bonnes blagues (ou pas, mais moi ça me fait rire !), bon coup... Ouais ouais ouais.

On se réveille, on part bosser, on se dit au revoir, c'est doux c'est chaud, ça sent bon le sable chaud. ou pas.

Plus trop de nouvelles, plus trop de contacts, on ne s'est pas revus.

Fastoche.

Au suivant, donc ! Ou pas.
Je suis blasée. Je suis dépitée. Je voue une haine de plus en plus féroce envers la gente masculine.
D'un autre côté, je ne peux m'empêcher d'aimer les hommes.

La poisse.

Réouverture de la chasse aux con(ne)s...

... Et grand ménage.
Exit les gens néfastes, après une longue réflexion, je préfère être seule que mal accompagnée.

Bye bye boulets, bonjour la vie.
Bonjour MA vie.

Les gens sur qui on peut compter...

... ne sont clairement pas ceux à qui on aurait pu penser lorsque tout allait bien.

Ce ne sont pas ceux qui commentent à tour de bras vos status FB (je dirais même que ceux-ci sont les pires : "et si je disais un truc drôle pour me faire remarquer ?")

Ce ne sont pas non plus ceux qui, lorsque vous leur demandez conseil avec un regard plein de détresse, vous répondent avec un haussement d'épaules et un regard compatissant.

Bizarrement, les gens sur qui je peux compter sont ceux que je ne vois pas souvent, mais qui sont plein d'empathie et d'attentions non calculées.

Et je les remercie.

Le Mur de Briques...

C'est un concept que je ne connaissais pas, mais qui m'a fait bien marrer, alors je me dois de vous raconter ça.

En fait, samedi dernier, j'ai passé la soirée avec des amis niçois, et ça parlait de cul (forcément...).
Parmi eux, deux jeunes hommes tout à fait fréquentables, qui nous ont expliqué une idée assez intéressante, celle du "mur de briques".

En effet mesdames et mesdemoiselles, j'ai appris qu'il se passe tout un tas de trucs dans la tête de nos hommes lorsqu'ils nous font l'amour (j'avoue, cette partie là n'est pas un secret), mais encore plus quand ils ferment les yeux.

Et oui, sachez que lorsque votre homme ferme les yeux au moment où vous accomplissez l'acte, son cerveau se met à fonctionner à 10 000 , mais pas comme le nôtre.

Effectivement, une femme aurait tendance à fantasmer, se faire des films (pornos) dans la tête au moment où elle ferme les yeux, à se concentrer pour prendre du plaisir... Alors que nos hommes eux, ferment les yeux pour... FAIRE DURER LE PLAISIR !!!

Et forcément, pour faire durer le plaisir, il faut penser à tout sauf à ce qu'on est en train de faire, et encore moins fantasmer sur Katsumi ou je ne sais quelle autre Scarlett Johansson...
Et je vous le donne en mille, à quoi pensent-ils ???
AU MUR DE BRIQUES !!!!!

Et oui, et voici l'idée, made in Ken :
"Lorsque je fais l'amour à Barbie, et que tout va trop vite pour moi, je ferme les yeux, et je pense que je construis un mur de briques : je pose une brique, je mets du ciment, je pose une brique, je mets du ciment.... jusqu'à construire un mur" !!!

... Ben bravo, quelle belle découverte !

La dernière fois que j'ai fait l'amour, mon partenaire n'a pas fermé une fois les yeux, j'ai bien fait attention... Il n'a donc pas construit de mur de briques !
Mais je veille au grain, et ne manquerai pas de lui demander si je suis la brique ou le ciment si d'aventure il lui arrivait de fermer les yeux.
Quite à passer pour une folle, ça aura le mérite de me faire rire !

L'histoire qui se répète...

... est-elle une fatalité ?
Je ne sais pas, mais tout ce dont je suis consciente aujourd'hui, c'est de la boule au ventre, de cette peur qui m'envahit et qui grandit en moi telle un Alien.
La peur n'évite pas le danger certes, mais j'aimerais ne pas avoir cette sensation d'échec avant même qu'il ne se produise.
J'aimerais déjà être à la fin du Week-end pour connaître le dénouement de tout ça, avoir une boule de cristal afin de partir plus sereine...

Je croise les doigts pour que l'histoire ne se reproduise pas. Pour qu'elle ne soit pas une putain de fatalité.

Le bonheur, ce n'est pas que pour les autres, j'y ai droit aussi et je compte bien en profiter (un jour).
Pour le moment, il ne me reste plus que :
- mes yeux pour pleurer
- profiter des jours loin d'ici
- ne pas penser à la fatalité
- imaginer un avenir brillant
- y croire, pour une fois.

Et même si. Même si ça arrive, et bien j'aurais vécu ce que j'avais à vivre.
Et ça aura été bon.
Mais quand même.
Ma vie ne peut pas être construite que de choses éphémères....
Parce que, selon moi une chose éphémère + une autre + une autre + ... + une autre = plein de choses éphémères, qui, mises bout à bout ne servent pas mon bonheur.

Alors... alors je croise les doigts et je revêts ma plus belle tenue d'optimiste, je vis le jour présent, et je pars profiter des miens.
Car la vie n'est pas éternelle.

La nuit porte conseil...

... Après, elle apporte peut-être de MAUVAIS conseils, mais quoiqu'il en soit, c'est vrai que pour le coup j'ai réfléchi (et que du coup, j'ai mal doooooorrrrmmmmmmmiiiii !).

Bon toutefois, j'ai encore la tête pleine de questions, mais, si je fais tout ce que j'ai envie de faire et que je le fais à l'instinct, je n'aurai pas de regrets.

C'est ce que je me dis toujours, et puis "qui ne tente rien n'a rien".
Par contre, je pense que mon sixième sens est un peu en vrac, et qu'il est complètement déphasé (pour tout ce qui m'arrive dans ma vie)...

En tout cas, "Wait and see".
Mais c'est vrai que la patience, ce n'est pas mon trait de caractère le plus marqué !

Les nouvelles par procuration...

Il y a des gens qui lisent mon blog en sous-marin, grand bien leur fasse.
Ce qui me déplaît un peu plus cependant, c'est quand il s'agit de personnes dont j'ai été super proche pendant longtemps, et qui ne donnent plus signe de vie.

Ca m'énerve, ce sentiment de défaite, d'avoir l'impression d'être là pour les autres, mais pas le contraire.

J'en ai un peu marre d'être une "amie à usage unique", à qui on s'intéresse quand rien ne va, à qui on se confie, sur qui on sait qu'on peut se reposer, d'être le clown de service pour faire passer certaines pilules dures à avaler.

Et ouais, l'amitié, ce n'est pas à sens unique, et mon blog, je ne l'ai pas créé pour qu'on ne me donne plus de nouvelle, et qu'on en prenne "à l'insu de mon plein gré".

Fait chier, tiens.

Slangs...

Putain ras le cul de cette vie de chien bordel de merde fait chier la bite.
(sa mère la pute)

Voilà.
Ca fait du bien.

Bonne nuit.

T'as le blues Coco(tte)

Bon OK, le monde des Bisounours n'existe pas.
Ca va ça va, même si j'y ai cru un quart de seconde, je ne suis pas étonnée !

Bref, le chemin n'est pas sans encombre dans la quête du bonheur et de la plénitude, et l'arrivée de l'hiver n'aide pas...

Au régime d'hommes, au régime de vie sociale, un chef pas commode, voire même prêt à me mettre des bâtons dans les roues...

Hum, je vais faire un plein d'oranges et d'amandes, ça stimulera mon système immunitaire au moins !

Tiens d'ailleurs, elle est passée où la vilaine Grippe A dont tout le monde parle(ait) ?

Ha bah ouais c'est vrai, maintenant, on focalise sur Frédo et Jeannot. On peut pas TOUT faire non plus...
Hébédidonc !

Putain parfois c'est vraiment difficile.........

How to learn...

Je suis en train d'apprendre à vivre avec moi-même, à m'accepter, à m'auto-apprécier.
Hum disons que les débuts ont été difficiles, mais finalement je le vis bien.
Je me supporte bien, je me trouve sympa, et même que parfois je me trouve drôle.

Je me dis que finalement, j'ai de la chance de vivre avec moi-même, je ne suis pas trop chiante, pas trop désorganisée, pas trop cradingue, pas trop bête et pas trop moche.
J'aime assez bien mon style vestimentaire (sauf quand "ma chemise me boudine, j'ai l'air d'une chipolata, je n'peux pas sortir comme ça"... ça arrive mais bon, faut pas oublier que je suis une fille !), j'aime bien aussi mes blagues, j'aime ma douceur intérieure et mes yeux moqueurs/interrogateurs/expressifs.

Bon en gros, ça va beaucoup mieux qu'il y a quelques temps, j'arrive à me supporter, à me regarder dans une glace et à m'apprécier à ma juste valeur. En tout cas, j'arrive enfin à ne plus me dénigrer.
Je suis consciente de mes qualités et de mes défauts, je sais aussi que je suis une personne à part entière, et que je n'ai besoin de personne pour exister.

C'est con ce que j'écris hein ?
Bah ouais mais au moins, vous pouvez vous taper une bonne barre de rire / vous foutre de ma gueule.

En même temps rien à fout'... !
L'entreprise de démollition de Psycho avait plutôt bien fonctionné, dire que j'ai mis plusieurs années à me dégager de cette putain d'image qu'il avait réussi à me donner de moi...
Mais maintenant "fuck you very much", je suis quelqu'un de bien et j'emmerde les connards de ma vie !

... Salade / Tomates / Oignons ?!

.... Nooooonnnnn par pitié, pas de salade, pas de tomate, pasa d'oignon, et surtout pas de grec !!!!
LOL comprenne qui pourra ;)

Non mais c'est vrai, je me mets au régime, marre de toute cette bouffe hypercalorique, je préfère encore une petite gourmandise improvisée de temps en temps, plutôt que de me rendre au fast food afin de tester TOUS les menus !

Même si on n'a qu'une vie, il faut savoir se respecter et écouter son corps ;)

... Sinon je sais pas vous, mais moi j'ai un Iphone.
Un PUTAIN d'Iphone, sans accusé de réception, qui me fait passer pour genre la "metteuse de plans" professionnelle, alors que non mais pas du tout, mais pfffffff !

Saloperie de nouvelles technologies !
Saloperie de fast foods !

Les histoires 2.0...

... commencent à m'agacer sérieusement.
C'est pourquoi j'envisage plusieurs choses :

- arrêter les rencontres Internet,
- lire des bouquins de développement personnel, et comprendre "pourquoi tout ça tout ça n'arrive qu'à moi, et pourquoi est-il tombé sur moi ? mais qu'ai-je donc fait pour mériter ça ??" (ça ne vous rappelle pas une chanson débile des années 80 ? à moi, oui)
- freiner mes instincts de dépendante émotionnelle.

Bon alors, cette histoire mérite tout de même d'être racontée.
Un nouveau cas inexploré dans la vie de Mimi.

Un soir, j'allume mon ordi, comme très souvent, et un inconnu vient me parler sur MSN.
Au bout de deux minutes de blagounettes, je ne sais toujours pas d'où il sort, et le lui fais savoir.
Il me répond qu'il ne sait pas non plus qui je suis, mais qu'on est chacun dans la liste MSN de l'autre (vous avez dit "bizarre" ?), et qu'on a bien dû se connaître un jour.
Pas faux, je demande la photo du jeune homme, histoire que, si nous nous sommes déjà croisés un jour, je trouve une bonne excuse pour stopper la conversation.

Après réception de ladite photo, plusieurs constats se bousculent dans ma tête :
- "putain mais ce mec tombé du ciel est CANON !!!! merci mon Dieu",
- Ben non, on ne s'est jamais vus en fait,
- On a dû se croiser un jour sur un site de rencontre, étrange, je ne m'en rappelle pas.

Bref, la discussion se poursuit et est agréable (on se marre chacun derrière nos écrans), puis tourne au scénario de film porno : Il me propose de passer chez moi ou vice versa le soir-même, et de coucher ensemble, puisqu'on est tous les deux beaux et célibataires (bon, je rajoute le "beaux" histoire de faire moins trash hein...).
Je lui réponds que "non pas ce soir, il est tard, mais demain on est vendredi, donc pourquoi pas".
Il me prend au mot, et on s'échange nos numéros.

Je n'y pense absolument pas, mais lui me relance le vendredi soir, alors que je suis en pleine soirée beuverie. Forcément, je ne lui réponds pas, puisque je n'ai pas mon téléphone sur moi (et j'ai d'autres choses à faire aussi). Cependant, je lui envoie un sms le lendemain pour lui proposer de boire un verre (faut bien mettre des visages et des mimiques sur un interlocuteur 2.0).
Il accepte, et on se voit le soir-même.

Je ne m'attends à rien d'autre qu'un verre "mythique" au pire, et un plan cul "au mieux".
Mais là, bonne, voire très bonne surprise : Un feeling de folie, des regards complices, des fous rires en pagaille, une complicité évidente, des rires, et encore des rires... Incroyable, je suis presque touchée par la magie du moment.
On finit la soirée à la maison, à se raconter des histoires drôles, à se marrer, à se regarder... à fumer, à boire... à s'embrasser...

Il dort à la maison, et le lendemain, je l'observe, en imaginant une suite "fatale mais logique on-est-dans-la-vie-de-Mimi" : "Merci pour la soirée au revoir".
Au lieu de ça, c'est tout le contraire qui se passe.
Il me demande s'il peut prendre un café, il prend une douche, et on discute encore et encore.
Il part de chez moi en plein milieu de l'après-midi, en me disant "on s'appelle hein ?!"...
... WTF ???? Une jolie histoire dans la vie de Mimi ?

Moi, naïve et dépendante affective que je suis, j'imagine les plus belles choses, me disant qu'il est tombé du ciel, que tout ceci est super joli après tout, même si ça a commencé par un délire sexuel.

On se revoit Brandon et moi, le lundi soir, il m'invite à dormir chez lui.
Je me gare dans son parking, en lui précisant que si je dors chez lui, il devra se lever le lendemain pour venir m'ouvrir ("t'inquiète !").
Je passe une soirée magique, des rires, des fous rires, des délires... un petit air de romantisme en prime...
On danse, on se regarde, il me dit des jolies choses, fait allusion aux "prochaines fois", et comme une conne, j'y crois.

Le lendemain matin, je me lève tôt, je me prépare, et le réveille pour qu'il vienne m'ouvrir son parking.
Il me dit "tu ne vas pas partir le ventre vide, laisse-moi te faire un thé, pose-toi..."
Etonnant, mais j'accepte.
Je lui rappelle que je dois absolument partir, et qu'il faut qu'il descende m'ouvrir.
Il me répond qu'il a la flemme de descendre, qu'il a besoin de dormir encore... qu'il a un deuxième Bip, et qu'il peut me le prêter.
Il précise "La seule chose, c'est que si je te prête mon Bip, on va être obligés de se revoir".
Je refuse dans un premier temps, mais comme il insiste à mort, je finis par accepter.

... Si j'avais su que c'était la dernière fois que je voyais Brandon....
On s'est échangé plusieurs SMS après cette jolie soirée, je suis partie en Week-end, il a dit qu'on s'appellerait... On a gardé contact pendant quelques jours, jusqu'à mon retour à Paris.
Le dimanche soir, je lui dis que je suis rentrée, il me répond qu'on se voit bientôt, qu'il m'appelle.

Dès lors, plus jamais de nouvelles, ou très peu.
J'ai envoyé un SMS en milieu de semaine pour savoir s'il était toujours vivant. Il n'a pas répondu.
J'ai appelé une semaine plus tard, il a répondu, il m'a dit qu'on se verrait dans le Week-end. Il ne l'a pas fait.
Il a envoyé un SMS à la fin du Week-end, pour dire qu'il m'appellerait dans la semaine. Il ne l'a pas fait.

Alors moi je dis : "TON BIP, DANS TON CUL".

Marrant, hein ?
Ce silence radio là, on ne me l'avait encore jamais fait.

Au début j'ai été inquiète, puis en colère, puis maintenant, indifférente.
Les histoires de cul qui se transforment en histoire d'amour, c'est définitivement pour les autres.
Les histoires d'amour tout court ne sont définitivement par pour moi.

Une chose est sûre, c'est que je me mets au régime d'hommes.
Que j'arrête de croire qu'ils vont m'aimer pour ce que je suis, et de leur trouver des excuses sans arrêt.
Que j'arrête de donner sans rien recevoir.

Bref, le chemin est long, mais je vais finir par y arriver !

Et ton Bip...

... dans tes fesses !
Allez hop, je suis encore tombée sur un attardé dont le sexe compressait trop fort le cerveau...
Du coup, après quelques jours passés ensemble, un bip de parking prêté, des mots doux et des regards complices, le rêve s'arrête.

Plus de nouvelle du jour au lendemain.
Ma foi, ça doit être la mode chez les 25-30 ans.

Ignore-je l'existence d'un site répertoriant "les silences radios les plus fendards de l'histoire de l'homme" ?
En tout cas, j'ai un sacré tas de merde(s) à mon actif, et même quand je me dis "non mais c'est pas possible, ils peuvent quand même pas tous être pareil", je me rends compte que si... en tout cas, tous ceux que je rencontre.

Ceci dit, et comme quoi la vie est bien faite, c'est un peu le jeu du "pousse-pousse" dans ma vie.

Alors, qui remplace Brandon dans mes pensées ?
(Brandon, agent immobilier, une audi TT et un super appart à son actif NDLR)

En tout cas, Brandon il est trop con, parce que si j'étais tordue, j'aurais pu ruiner sa caisse et son parking...
Mais je ne suis ni tordue, ni psycho, ni rien...

Les amis, les amants, les emmerdes...

"Après la pluie vient le beau temps".

Et aujourd'hui, dans le sud, c'est la CANICULEUH !!!
36 degrés à l'ombre, je pense aux petits parisiens emmitouflés dans leurs K-way et j'ai envie de leur dire : RIEN A FOUT' moi j'étais là tout l'été et pas vouuuuuuuuus !!!! :)

Bon de toute manière, je remonte bien assez tôt à la Capitale, mais c'est pas grave, je prends ce qu'il y a à prendre !
... D'ailleurs, c'est un leitmotiv en ce moment...
En espérant que "ce qu'il y a à prendre" dure longtemps pour changer, et que cette jolie sensation perdure (je ne parle pas DU TOUT des nouvelles "Always Ultra" parfumées à la fleur de Lys hein... qu'on se le dise...)

Etant donné ma prédisposition à tomber sur des cons, je ne m'attends à rien.
Mais IL n'est pas con.
Pas en apparence en tout cas...

"Pourvu que ça dure".
Mais c'est BON putain !

Et heu "Pas de nouvelles, bonnes nouvelles" ??
Oui, la Mimi est stupide.

Le hasard...

... fait parfois bien les choses.
Le temps nous dira le reste.

Bon en fait...

... C'était du teasing, mais puisque tout le monde s'en tape.... pas la peine d'en faire tout un plat !

Non mais c'est bien connu, d'où il m'arrive des trucs exceptionnels ?
Depuis quand l'amour frappe à ma porte ?
Faut pas déconner quand même...

En attendant, je prends l'homme pour ce qu'il est : une denrée périssable, sur le marché de l'offre et de la demande.

Et bien moi, messieurs, je ne suis plus trop en demande, j'attends que l'offre se manifeste.
A voir après si elle est de bonne qualité. Ou pas.

Puisque le sincère et le vrai ne fonctionnent pas, puisque le jeu m'épuise, je reste célibataire.
C'est encore le meilleur choix que je puisse faire en ces temps de crise.

En plus, je ne risque pas d'attraper la Grippe A par inadvertance, ni la syphilis, en recrudescence en ce moment !

... Que de bonnes raisons de ne pas se fourvoyer avec n'importe quel inconnu !

Des trucs bizarres....

.... Dans mon ventre et dans mes tripes...
Chelou, il a suffi d'un regard pour que tous mes sens soient en éveil !

Maintenant, y'a pu qu'à... se revoir !
Et se rendre compte que "ce n'était qu'un rêêêêêêêêêêêêêêêêêvvvveeeeee...."

Et ouais, on est dans la vraie vie, pas dans un conte de fées.
Qui plus est, on est dans la vie de Mimi...

Info ou intox ?

La suite (ou pas) bientôt !

L'Oeuf ou la Poule ?

Bon alors un peu de développement personnel dans ce monde de brutes...
Je tergiverse et me pose beaucoup de questions en ce moment.

La première, et la plus fondamentale à mes yeux :
Est-ce Psycho qui a modelé mon destin façon "Bridget Jones", ou est-ce que je me positionne sans arrêt en victime parce que ça m'arrange bien, finalement ?

C'est vrai, je rencontre pas mal de jeunes hommes, il me semble bien que je plais à certains d'entre eux, mais pourtant, le feeling n'y est pas, il manque toujours quelque chose.
Et, comme de par hasard, lorsque j'ai ne serait-ce qu'une once de sentiments naissants pour un homme, il se trouve que c'est un Connard de première (ou de deuxième ou de troisième, mais un connard quand même).

Donc, la Mimi est exigeante, tant physiquement que mentalement.
Au premier "hic", la Mimi s'enfuit.
La Mimi a un "prototype" d'homme idéal dans sa tête, mais ne sait pas le définir.

Il ne me semble pas avoir réfléchi de la sorte sur moi-même depuis... toujours.
Evidemment, je suis consciente qu'on n'a que ce qu'on mérite, et qu'on provoque les choses, mais quand même !
Des mecs bien j'en croise. Le problème entre moi et les mecs bien est assez simple basiquement parlant : Ils ne me plaisent pas.

Alors pourquoi toujours être attirée par des trous de balle ?
Fastoche : Le connard, on a toujours l'impression qu'on va le changer, et qu'on va être celle qui va le faire devenir "un mec bien".

J'ai essayé aussi les "mecs qui a priori paraissent bien, honnêtes, posés et matures" : Mauvaise pioche Mimi, ils avaient l''air mais pas la chanson.

Mais pourquoi donc suis-je aussi exigeante ?
Est-on comme les chats, et possédons-nous (moi plus que les autres ?), un sixième sens qui nous ferait nous arrêter uniquement sur L'Homme ?
Si on me certifie que "oui Mimi ton radar fonctionne bien, et à force de tester, tu vas finir par trouver ta perle rare", alors je veux bien continuer ma quête de chercheuse d'or.

De toute manière, je continuerai, mais je suis heureuse d'avoir une bribe de prise de conscience en ce moment-même :

- OK j'attire les abrutis, mais finalement ne serait-ce pas eux qui m'attirent ?
Le deuil de Psycho n'est pas tout à fait fini, et je cherche probablement encore inconsciemment quelqu'un qui lui ressemble mentalement parlant (dans ce cas, pas étonnant que je ne tombe que sur des imbéciles).

- MAIS j'attire aussi les mecs bien. C'est juste qu'ils ne me plaisent pas ou peu.

- CEPENDANT je marche au feeling, et un jour, y'en aura bien un qui aura la recette magique, non ?

ALLEZ MIMI !!!!!!!!!!
Je m'auto-encourage, et je me dis : TU VAS Y ARRIVER :)

Hourra, j'adore me parler à moi-même, et avoir un monologue constructif.
J'aurai avancé un peu avec toutes les personnes qui habitent dans ma tête, et c'est déjà pas mal !

Nouveauté = légèreté ?

Peut-être que c'est vrai, mais probablement pas.
En tout cas là maintenant tout de suite, je me sens légère, et après ces quelques semaines, ça fait du bien !
.... Manque plus qu'un peu de soleil, des chaleurs tolérables, une terrasse, un cocktail, et on est bon pour dire que "la vita è bella" ! :)

Bridget Jones et moi...

Aujourd'hui, je me sens un peu comme Bridget.
Et j'ai besoin d'écrire...

Evidemment, mon blog ne prend pas la tournure que j'avais espéré, je pensais tourner à la dérision tout ce qui m'arrive, mais j'avoue que le petit coup de mou de ces derniers temps ne m'aide pas à être jouasse.

Trop de malheurs autour de moi, qui ne me touchent pas directement, mais qui, humainement, me touchent profondément.
Si je n'en parle pas ici, c'est que c'est MON blog et MA vie (enfin, ce que je veux bien en dire, car bien entendu, je suis assez grande et maligne pour faire la part des choses, et ne pas dévoiler mon être tout entier... faudrait être stupide ou exhib... bref, là n'est pas la question).

Toutefois, les catastrophes qui m'entourent ne m'aident pas à dire que la vie est une fête...
Et toi là, ma petite Femme Fatale, je sais que tu me lis, et je peux te dire qu'il n'y a pas une seule seconde qui passe sans que je pense à toi et à tes proches.

Aujourd'hui, j'ai plus que jamais besoin de me sentir entourée, et paradoxalement, c'est dans ces cas-là que l'on se retrouve seul.
J'ai passé des vacances inoubliables et fantastiques aux Etats-Unis, j'ai vécu des moments fabuleux, et c'était juste un rêve éveillé.
Je pense que le réveil en est d'autant plus brutal, et j'ai du mal à me remettre dans le bain de "la vie normale".

On est dimanche, et j'ai passé la journée à cogiter, à espérer que mon téléphone sonne, que quelqu'un me propose de faire quelque chose.
Je suis entourée de couples, qui bien entendu ont d'autres choses à faire que d'inviter une tierce personne avec eux lors d'un long week-end.

Les amis célib sont tous partis.
Ceux qui restent n'ont a priori pas pensé à moi.

Je me sens seule, mais tellement seule...
Ca tombe bien, personne ne me lit ! et d'ailleurs j'aurais honte qu'on lise ça... Ces sentiments de faiblesse, de détresse et de tristesse ne me collent pas vraiment à la peau...

A midi j'ai brunché avec ma belle-soeur, qui fêtait l'enterrement de vie de jeune-fille de sa soeur, avec des amies... Elles ont en moyenne 2 à 4 ans de moins que moi.
Elles étaient 6.
Toutes casées.
Toutes enceintes ou en phase de l'être.
La déprime totale...

Et Mimi, qu'est-ce qu'elle fout encore seule ?
"quand est-ce que tu te trouves un homme ? hi hi hi"
"Demain CONNASSE".

Putain, j'en ai marre que les gens ATTENDENT que je leur ramène un mec.
OUI je suis célibataire ET aigrie ET triste ET en souffrance.
Mais je la ferme, et je me défoule ici.

Alors NON c'est pas gai, OUI ça donne envie de se tirer une balle, mais la vie c'est ça aussi : les hauts et les bas.
Et, sentimentalement parlant, j'avoue que je touche le fond, et que c'est une période assez difficile...
Encore un échec, encore une claque dans ma tête, encore se remettre en recherche, en attente, en mode "séduction"...
C'est pas facile la vie de Bridget Jones.

On en est à quel tome ?
Que je sache à quel moment faut lâcher l'affaire...

La boîte de Pandore...

Il y a des soirs comme ça, où on se plonge dans les souvenirs, dans le passé...

Très récemment, un événement a fait que je me suis pris un gros flashback dans la tête.
Ce n'était pas voulu ni prémédité, c'est juste arrivé, et ça m'a replongée quelques années en arrière.
Lorsque tout allait bien, que j'étais jeune et naïve, que je pensais qu'il serait là longtemps, et peut-être aussi pour toujours.
Comme je l'ai aimé... Comme je l'ai aimé... De tout mon être et du plus profond de ma chair. J'aurais cru que nous deux, ça serait du solide. "Mimi et Nono", les deux inséparables.

Et hier, j'ai relu des lettres, j'ai relu des log de conversations MSN.
Du plus beau au plus horrible.
Du conte de fée au cauchemar.
Des "je t'aime" aux insultes les plus graveleuses.

"Tu trouveras un jour quelqu'un qui t'aimera pour ce que tu es, pour Mimi, cette fille exceptionnelle et unique, et non pour tes seins ou pour tes fesses".
Voilà ce qu'il m'a dit un jour après que nous nous soyons séparés.

Aujourd'hui, ça fait presque quatre ans.
Quatre ans qu'ils ne s'intéressent qu'à mes seins.
Quatre ans que je garde espoir... que je tombe et me relève.
Mais je suis fatiguée.
Pourquoi ?
Pourquoi est-ce que ça n'arrive qu'aux autres ?

Le bonheur, c'est comme le Loto ?
C'est destiné à une sélection de gens touchés par la grâce de Dieu ?
Pourtant, je n'ai pas non plus de chance au jeu...

Ce discours-là, il fait un peu Calimero, je le conçois...
Je n'aime pas montrer cette facette, mais pourtant elle fait partie de moi.

Le Butterfly Catcher là, il a réveillé une rage que j'avais enterrée depuis longtemps tout au fond de mon être...
Les récents événements ont fait ressurgir quelqu'un d'un passé que je croyais oublié.
Et ça fait plus mal que je n'aurais pensé.

La solitude, je la gère bien.
Mais parfois, je l'encaisse mal.
Mais où sont les étoiles qui étaient dans mes yeux lorsque je regarde ces vieilles photos ?
Où est cette légèreté, où sont les regards complices ?!

Je ne comprends pas, où est ma part de bonheur ?
Qui me l'a volée ? qui m'en a privé ?
Que l'on retrouve celui qui est parti avec, et qu'on le flagelle, il ne mérite que ça !!

J'aimerais que ça m'arrive à moi aussi.
Juste encore une fois. Même pas longtemps.
Mais un truc vrai, avec des sentiments partagés, et tout... Avec de l'espoir et de l'amour... juste un peu... et des projets... même pas fous, même pas inespérés... juste des petits projets...

Bon sang, que quelqu'un m'entende !

Le Butterfly Catcher...

C'est celui qui a mis des papillons dans mon coeur, puis qui les a repris pour les piétiner.
C'est celui qui, pendant mes trois semaines aux States, m'envoyait des SMS tous aussi adorables les uns qui les autres.
Celui qui me disait que je lui manquais, qu'il attendait mon retour avec impatience...
Qui disait qu'il était sage.

Le Butterfly Catcher, c'est celui qui m'a répondu, la veille de mon retour, quand je lui ai demandé "on se voit quand ?" : "Je ne sais pas, va te reposer".
Il se prétendait honnête et franc ("surtout face à une nana comme toi"), mais j'ai dû lui tirer les vers du nez pour qu'il m'avoue qu'il avait rencontré qqn...
Enfin, il ne m'a rien avoué, j'ai posé la question, il a acquiescé.

Ptin mais ils ont quoi ces putains de mecs, à ne pas savoir tenir leur bite plus d'une semaine ?
C'est quoi mes PUTAIN de tares ?
J'ai fait QUOI au monde pour toujours me taper des tafioles ?????

Marre de ces connards qui ne savent QUE dire qu'ils sont désolés.
J'en ai rien à foutre des gens qui sont désolés, je m'en tape qu'ils soient désolés.
Ce qui compte, c'est les gestes...

Et au passage, m'envoyer des SMS de ouf comme il le faisait alors qu'il était avec qqn d'autre, ça ne se fait pas.

Je suis en colère, en rage.
J'ai envie de taper contre les murs et de l'insulter.
Au lieu de ça, je me tais, et je ravale ma colère.
Et oui, Mimi elle est "gentille".

Ben Mimi, elle emmerde quand même les gros enfoirés qu'elle croise dans sa vie.
Et elle en a MARRE.

Mesdames et messieurs les Anonymes

... C'est parce que vous ne pouvez plus poster ici qu'il n'y a plus aucun commentaire ?
Ou juste parce que tout ça n'est plus aussi palpitant qu'au début ?

Les papillons dans le ventre

Ca existe ENCORE ! Vraiment !!!
Et ça fait un bien fou...
Bref, je revis, c'est bon, une bonne bouffée d'oxygène !

Je partage ma joie,
Pourvu que ça dure...

Waterloo morne plaine

Depuis l'histoire d'Averell, qui a mis une claque à tout le monde, j'avoue que je me suis un peu calmée.
Ou disons que je ne me formalise plus.

D'autant plus que je pars en vacances looooiiiiiiiiinnnnn mais alors très loooiiiinnnn dans 9 jours maintenant, et que j'ai plein de choses à faire avant le grand départ.

Du coup, j'expérimente encore l'homo erectus, mais comme plus rien ne m'étonne, je me laisse un peu porter par le vent.

Et puis la suite de mes aventures certainement en juillet, il fera chaud, je sentirai bon le sable chaud de la Californie, je reviendrai de la Gay Pride, et SURTOUT, je serai toute bronzée (trop la classe !)

C'était juste pour vous dire que "je vais bien, vous en faîtes pas", et que j'ai encore plein de choses sous le coude à vous raconter.
Mais je n'arrive pas à m'exprimer aujourd'hui, donc ça sera pour un autre jour !

Averell et Joe Dalton

Aujourd'hui, c'est en mode "récit" que je vais vous livrer une expérience qui m'est arrivée dernièrement.
Pour information, tous les noms utilisés ici sont des pseudos, et ne reflètent en aucun cas la réalité. J'invite les principaux intéressés à venir se plaindre s'ils ne sont pas en phase avec ce qui va vous être conté.

*** Plantage de décor et présentation des personnages ***

- Averell Dalton : "petit ami" de Mimi au moment où se passe l'histoire
- Joe Dalton : "la couille gauche" (si on part du postulat qu'Averell est la couille droite), et ami de Averell. Anciennement ami de Mimi également.
- Eddie : Amie de Mimi, elle ne connaît ni Joe ni Averell.
- Mimi : ben c'est moi, quoi !

Un soir, Mimi et son amie à la voix sensuelle partent prendre l'apéro avec d'autres ami(e)s à elles.

Mimi essaie de joindre Averell Dalton (avec qui elle entretient une relation depuis plusieurs semaines ndlr), qui bizarrement ne répond pas à ses coups de fil.

Etant donné qu'Averell et Joe Dalton, tel que le raconte la légende, sont toujours fourrés ensemble, Mimi décide d'appeler Joe pour savoir où ces deux urluberlus (= nazes dans le langage courant) se trouvent.
Joe répond à Mimi qu'il est seul avec Jack (pas Daniels, mais le troisième Dalton... Quoique je n'ai rien contre ce dernier), et qu'ils ne pourront certainement pas la rejoindre pour passer une soirée agréable, car ils ont d'autres chattes à fouetter (poésie quand tu nous tiens !)

Mimi, inquiète par le silence inhabituel d'Averell, lui propose par SMS de la rejoindre pour l'apéro avec ses potes... Et toujours rien, pas de réponse.

Du coup, Eddie a une super idée : Pourquoi ne pas appeler Averell avec son téléphone à elle (puisqu'il n'a jamais rencontré Eddie auparavant, et donc qu'il ne connaît pas son numéro ni sa voix, ni rien du tout), histoire de vérifier s'il est ou non en compagnie de son alcoolique et néanmoins imbécile "ami de pas-si-longtemps-en-fait", Joe ???
Mimi, trouvant l'idée sympa et rigolote, encourage Eddie à faire sa comère (truc de filles... on se croirait presque dans Gossip Girls, vous trouvez pas ?)

[si vous ne suivez pas, n'hésitez pas à poser des questions]

Averell répond à son téléphone, et Eddie joue à la fille qui s'est trompé de numéro : "ha désoléééeeeeeee je me suis trompééééeeeee pardoooooonnnn !!!"
Elle raccroche et me confirme qu'Averell et Joe sont bien ensemble en boîte de nuit à 21h (va comprendre Charles).

Du côté des filles, la soirée bat son plein, les potes affluent et ça devient vite la fête à la grenouille.

Cependant, la recherche de chattes à fouetter ne devant pas être totalement convaincante chez les hommes, Averell décide d'utiliser (attention, expression maison) la "technique du chacalou en ruthe".

Explication : Averell envoie un SMS à Eddie... pour lui dire qu'il a trouvé sa voix charmante.
Eddie lui répond, puis s'ensuit une série de textos plus ou moins tendancieux.
Averell lui propose même de les rejoindre, lui et ses alcooliques, tout de suite ou plus tard, le programme de la soirée ayant l'air assez chargé et ambitieux.

Après avoir fait appel au public pour savoir que répondre, Eddie lui propose plutôt de se voir le lendemain. Et clot la conversation par un "tu as mon numéro".


[Utile de préciser qu'à part un pauvre appel pourrave, Mimi n'a pas de nouvelles d'Averell ?]

La soirée se passe.
Le lendemain arrive.

Averell, au taquet, appelle Eddie à 15h le lendemain, pour la rencontrer... Tu parles, elle a une voix qui réveillerait les plus morts d'entre nous !
Après avoir fait appel à un(e) ami(e), Eddie propose un RV à Averell loiiiiiiiinnnnnn de sa maison, et à peu près en plein milieu de l'après-midi (pourquoi gâcher une si belle journée que ce jeudi de l'Ascension) ?


[J'espère, Averell et Joe, qu'à cet instant du récit, vous vous reconnaissez et vous sentez bien merdeux]

Je continue pour les fans de ma saga de l'été !

Averell envoie un SMS à Eddie lorsqu'il arrive au point de RV.
Eddie ne lui répond pas, et ce n'est qu'une demie heure plus tard que Averell l'appelle pour lui demander où elle en est.
Elle invente un bobard pour esquiver le rencard, mais propose de se racheter un peu plus tard dans le Week-End.
Averell fait bonne figure, et raccroche, même pas un brin vexé.

Il raccroche... pour rappeler aussitôt Mimi !!!!
Ha ben oui, ne l'oublions pas, Mimi (moi en fait), c'est "l'officielle", the true, the only one ! enfin, en théorie seulement !
Bref, un échange de banalités...

Eddie avait pris soin auparavant de communiquer son adresse MSN à Averell, "histoire de faire plus ample connaissance avant THE date !"

Du coup, elle apprend à connaître Averell au travers d'une conversation MSN enrichissante, où Averell lui précise entre autres qu'il est "100% célibataire", qu'il a rencontré des personnes "mais vraiment rien d'intéressant pour le moment"...
Il lui raconte même sa dernière conquête : "une copine d'un pote" (c'est moi NDLR), "avec qui on est resté deux semaines ensemble, et maintenant on se voit en copains" (ravie de l'apprendre, j'ai toujours eu des relations privilégiées avec mes potes, mais de là à avoir des relations intimes avec eux... !).

La cerise sur le ponpon : "Ouais, on a couché ensemble depuis qu'on est séparés, mais c'était CLAIREMENT UNE ERREUR".
... Ravie aussi d'apprendre une telle chose...

Bref, pour abréger vos souffrances :
Averell Dalton a fini par cracher à Mimi qu'il préférait la voir en amie (après des tortures diverses et variées de ma part, car ce n'est pas franchement un as de la communication).

Et il n'est bien sûr pas au courant que je sais tout.
Et que j'aime pas vraiment me faire prendre pour une conne.

Le lui dire en face, ça aurait été plus beau.
Mais pas de temps à perdre avec des idiots.

Averell, bonne route, et surtout amuse-toi bien, puisque tu es en pleine recherche d'amusement.
Joe, merci de ta considération à mon égard.
Eddie, des amies comme toi, il n'y en a pas 100. Merci.

La Vengeance...

... est un plat qui se mange froid.

Laissons donc tomber la pression alors, et faisons péter une tournée de claques générale !
AIOLI comme dirait quelqu'un que je connais bien ;)

Et pas de pitié pour les croissants !

Une fois le plat mangé et digéré, promis, un résumé !

(j'adore tenir mon public en haleine...)

Les questions existentielles

J'ai longtemps cru que les hommes et les femmes n'étaient pas foutus pareil, que les femmes étaient des grandes romantiques et que les hommes ne raisonnaient qu'avec leur sexe.
Longtemps, mais pas toujours bien heureusement (je suis naïve seulement jusqu'à un certain point !)

On m'a souvent dit que je devais déstabiliser les hommes car je réagissais comme eux, ou en tout cas pas comme une fille devrait réagir.
C'est d'autant plus vrai depuis les grosses claques de ma vie.

Depuis les leçons que j'ai pu acquérir au fil du temps, j'ai lâché du leste, en me disant "Carpe Diem" (j'aime pas cette expression, ça fait beauf, mais ça prend moins de place que de dire "je vis au jour le jour et advienne que pourra"... N'est-ce pas ?).

Bon donc du coup, j'ai barricadé mon coeur (instinct de survie), et loin de moi l'idée d'entrer dans les ordres, je continue mes expériences psycho-homo (sapiens)-erectus (manquerait plus qu'il erectus pas... ça ferait un billet assez loufoque remarquez !).

Figurez-vous que lorsque nous, les filles, on ne réfléchit pas, et qu'on tente une expérience avec une personne du sexe opposé, et bien au bout d'un moment, les rôles sont inversés, et on se retrouve confrontée à nous-même-si-on-n'avait-pas-décidé-de-prendre-les-choses-légèrement.
(je veux dire par là que la femme devient l'homme et l'homme devient relou, donc la femme ! Vous me suivez, là ?)

C'est tout de même pénible, c'est pas possible de vivre des choses sympa avec une vision à très court terme de la relation ?? (ie. "on se fout de demain, pour le moment, on fait du sexe/on se marre/ on mate un film)
Les relations hommes/femmes, c'est devenu un super Rubiks-Cube géant, où on est obligé de se prendre la tête pour essayer d'y comprendre quelque chose ??

Et bien moi, ça me GONFLE !
Je voulais un truc sympa, pas prise de tête, et voilà qu'on me la casse (ma tête) avec des considérations (qui selon moi sont) stupides, et des réflexions hors sujets du genre "je sais pas ce que je veux".

Je pense que pas grand monde sait ce qu'il veut dans ce monde (surtout pas moi), et du haut de mon expérience de coeur brûlé, je dirais que c'est déjà pas mal de bien s'entendre avec quelqu'un à tous points de vue.

Je trouve qu'après même pas un mois de relation, il ne devrait pas y avoir de place pour les questions relous, sur le "devenir de notre couple" (si tant est que l'on se considère comme tel).
La vie est tellement chiante, relou et pesante parfois, qu'il faudrait songer à y mettre un peu de légèreté, et ne pas réfléchir !

Moi, je ne réfléchis pas, je suis en mode "free style", et pour l'instant, ça m'a bien réussi.
Seulement, Gaston en face de moi, il a décidé de commencer à réfléchir.
Du coup, il me fatigue un peu.
J'espère que le mâle qui est en lui va vite se réveiller, et penser comme un mâle doit penser : "manger / faire du sexe / rigoler".
Ca sera plus fun et moins relou !

La Communication

J'ai toujours cru être une bonne communicante.
Je suis cash, j'ai une grande gueule, et je sais dire aux gens quand ils ne me plaisent pas, ou qu'ils disent des choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord.

Là où le bas blesse, c'est quand je suis face à des nouvelles personnes, quand je dois dire clairement certaines choses, je bloque.
Je pense que je suis meilleure par écrit que par oral.
Un truc de geek, un fléau du XXIème siècle...

Du coup, on ne se comprend pas, on ne communique pas, on se passe à côté.
Bref, ça me gonfle.

Encore un brouillon, c'est pas grave, pendant mon ménage de printemps, j'avais AUSSI vidé ma poubelle !
"Faire place nette", voilà qui est fait.
Pour y remettre de la merde.

C'est ça qui est bon. Ou pas.

Les Mojitos

Hier, je suis partie comme une furie avec la Femme Fatale, on est allée boire des Mojitos !
Enfin bon, pas des Mojito de tafiole hein, des vrais de vrais, des doubles au prix des simples...
Un truc d'homme, quoi !
On était en totale euphorie, tant et si bien qu'il faisait encore jour, et que nous, on était complètement pétées !

... Merde alors, j'avais dit que je ne boirai plus !
Ceci dit, j'ai aussi dit que "j'arrêtais de comprendre les hommes", que "je me mettais au sport intensif", etc.
Il faut laisser une part de doute, y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !

Enfin bon, trop la classe, on se fait vieilles...
Et on est rentrées chez nous à 23h, complètement pétées...

J'ai un peu honte, mais même pas peur de l'écrire !

En plus, dans ce bar où on va souvent, y'a que des nanas, c'est désespérant...
Et sinon, y'a des hommes moches qui croient qu'on les drague, alors qu'on dragouille ceux de devant :)

"C'est pas moi qui s'en occupe"

... est une phrase que j'entends bien trop souvent au boulot en ce moment.
Le problème, c'est que sur le papier, c'est MOI "qui s'en occupe", mais étant donné que je ne sors pas tout droit de la cuisse de Jupiter, je n'ai pas la science infuse, et il y a des choses que je ne sais pas faire.

Donc, je vais m'occuper de mes oignons, mais faudra pas s'étonner si ça engendre des catastrophes mondiales !
(La grippe porcine, c'est déjà pas mal pour le moment :p)

"être dubitatif"

Je dubitative
Tu dubitatives
Il dubitative...

Et quand le doute m'habite...
C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres !

En tout cas, la fille à l'accent du sud qui n'est pas du sud, elle dubitative pas du tout, et ça fait plaisir :)
Comme si on s'était jamais quittées, des bonnes barres de rire et du Pasti comme on aime.

Sinon, va falloir éviter les private jokes et les spéciales dédicasses sans queue ni tête.
C'est un endroit public ici !
Heureusement, j'utilise des pseudos pour pas qu'on reconnaisse les gens...

Et j'ai appris une belle leçon aujourd'hui : je ne mentionnerai plus mon métier sur un sms, ça peut porter préjudice et attirer les gens qui se prennent pour Forrest Gump (la femme-chocolat, toussa toussa)... Ceux qui ont suivi ce blog comprendront à peu près de quoi il s'agit.

Le jour où....

... J'ai testé pour vous.
Aujourd'hui : Le Speed Dating

Je n'avais jamais eu l'occasion de faire un truc du genre, j'en avais entendu parler, et je me suis souvent dit que ça pouvait être marrant, mais je n'avais jamais sauté le pas.
Et bien, avec une amie, nous l'avons fait !!!!!
Et donc, on a testé pour vous.

En fait, c'est arrivé comme ça, un soir, dans la conversation, puis le lendemain (un vendredi), nous voici lancées dans l'aventure.

On s'est donc retrouvées dans un endroit privatisé pour l'aventure, on est entrées, et un jeune-homme nous attendait à la caisse.
J'aurais jamais cru perdre (un peu) mes moyens et me sentir à ce point stupide.
"Bonjour, vous venez pour les cours de tennis ?" nous a-t-il lancé.
Ca a un peu détendu l'atmosphère.

Bref, on rentre dans un beau bar, accueillies à nouveau par deux jeunes hommes qui nous demandent nos prénoms et nos âges.
Nous voici maintenant N° 47 et 48. Sympa !
On nous explique que nous allons rencontrer 5 jeunes hommes pendant 6 minutes à chaque fois, et que, s'ils nous plaisent, il faut se reconnecter sur le site, y entrer le MDP écrit sur la fiche et rentrer leur n°. Si l'attirance est réciproque, on obtiendra chacun les coordonnées de l'autre.
(Alors c'est ça ??? Nous ne sommes que de vulgaires numéros dans ce monde cruel ???)

Donc, 47 et 48 vont boire un coup pour se détendre.
Ambiance un peu lourde, étant donné que nous sommes cerclées : que des célibataires autour de nous (ou tout du moins, que des gens "en chasse").

Un organisateur fait le tour de la salle et passe chercher "une liste de gens" toutes les 30minutes, pour se jeter dans la gueule du loup.
Un espace "VIP" est dédié aux séances de Speed-Dating.

Hop, nous voilà lancées, 47 et moi, dans le jeu de la séduction (ou pas).
Personnellement, j'ai l'habitude des sites de rencontres (je ne pense pas que ce soit une gloire, mais bon), du coup, je n'ai pas trop été intimidée par l'exercice, et j'ai même été étonnée de mon aisance.

Cinq rencontres, donc.
Deux potes sympa, avec qui on a passé le reste de la soirée (mais sans autre issue que du copinage pour ma part), un jeune coincé, un débile (il en fallait bien un) qui étalait sa culture-confiture (et qui racontait que de la connerie by the way), et un petit jeunot de 23 ans avec qui je me suis tapée des bonnes barres de rire.

Bref, le Speed-Dating que j'ai vécu n'est pas celui que j'avais imaginé.
J'ai trouvé ça super sympa et bon enfant, et personne n'était là pour trouver l'âme soeur (en tout cas, je ne l'ai pas ressenti comme ça).
Une bonne expérience, à ne pas renouveler toutes les semaines toutefois.

C'est drôle, mais je pense que la première fois crée l'effet de surprise.
Je ne pense pas le refaire, mais un bon point pour cette soirée fort sympathique !

Les moments de calme (avant la tempête ?)

Bon alors si je n'écris rien en ce moment, ce n'est pas parce qu'il ne se passe rien dans ma vie.
Juste rien qui vaille le coup d'être raconté.

Mon week-end de débile s'est bien passé.
Des (jolies ?) rencontres... l'avenir nous dira le reste.

Des retrouvailles aussi cette semaine, une complicité retrouvée.
Ca fait tellement plaisir de vivre légèrement, d'avoir l'impression de se reconstruire doucement mais sûrement !

Le Printemps s'installe, les journées se rallongent, et il semblerait que ma poisse daigne me lâcher pour l'instant.

Bref, tout va bien, pas de débile en vue, juste des belles choses.
Et ça fait du bien !

... Ha ouais, et puis aussi, certaines personnes m'ont dit qu'elles étaient "déçues" de mon Blog : a priori, elles n'auraient pas assez ri.
Bah ouais mais Mimi, c'est ça aussi : Je ne suis pas QUE un clown, j'ai un coeur, des tripes, des sentiments. OUAIS OUAIS OUAIS !!!

Alors désolée pour les déceptions, promis, si le calme se fait la malle, je me remets en mode "aimant à bouffons", et ça vous fera rire !
J'assume mon statut de femme-drôle :)

Week-End de bougeage de fesses Phase 1

Tout s'est très bien passé, mais je ne peux pas encore en parler.
Si c'est concluant, je raconterai mon expérience enrichissante.
Si ça ne l'est pas, les êtres moqueurs que vous êtes pourront se foutre de moi encore une fois !

En gros, hier, c'était Débile-Pary.
Ou pas.

"Wait and See".
Vivement ce soir :)

Phase 1

La piscine reconstructrice.
Ca fait du bien.
Ca fait mal, mais ça fait du bien.

Glouglouglou.
Burp.

Mimi, Onomatopéistologue à ses heures perdues.

"Le Printemps est là"

C'est la chanson que chantait le voisin de Joey Tribiani tous les matins, vous vous rappelez ?

Ben moi, le printemps, ça m'inspire plein de choses, et surtout, ça me chamboule tout à l'intérieur de moi aussi !

En plus du ménache dans ma vie, il faut aussi que je fasse place nette dans mon armoire (pour de nouvelles sessions shopping, pour que je puisse ouvrir mon placard en présence de quelqu'un sans avoir honte ni peur que quelque chose me tombe sur le coin du nez).

Après ça, je serai fraîche et dispo pour de nouvelles (folles) aventures !
Mais toujours sans alcool (ou alors, avec, mais faudra pas que je me rende compte que je bois... Y'a que comme ça que je vis bien mes soirées de débauchée !)

Donc, ma "to do list" du printemps :

- Faire place nette dans tous les sens du terme

- Prendre des couleurs (à Paris, ça signifie passer un peu de temps dans les cabines à UV... Ouais je vous livre mes "secrets de beauté", vous prenez bien note, j'espère !!)

- Aller à la piscine (une super bonne excuse pour esquiver n'importe quel plan galère : "je peux pas j'ai piscine". Parfois, j'ai poney, mais c'est plus chaud à gérer)

- Continuer d'avoir arrêté de boire en le faisant exprès (cette phrase est incensée. J'en suis consciente. C'est un bon début, non ?)

- Arrêter de broyer du noir parce que je suis seule le soir comme une petite vieille avec mon Yogging et ma télé : j'ai qu'à me bouger les fesses !
Et si éventuellement, je suis en train de parler de mon éventuelle vie sentimentale inexistante : Vaut mieux être seule qu'avec un gros relou / psychopathe / partouzeur de droite / chiant (j'en passe et des meilleures, mais j'ai encore un stock de descriptifs pour les mecs pas cool)

Ouais ouais ouais, la méthode Coué, c'est encore la meilleure chose qui me soit arrivée depuis trois ans.
J'arrive à me persuader que :

- Je suis une chic fille

- Les hommes sont complexés face à moi (trop de qualités dans un être humain, ils n'ont pas forcément l'habitude...)

- Si j'ai pas encore trouvé le bon, c'est parce que je l'ai cherché !
Or, "qui cherche trouve" est une expression désuète.
Aujourd'hui, les gens heureux disent "C'est quand on ne s'y attend pas que ça nous tombe dessus"

- Liste non-exhaustive.

En tout cas, j'arrive à tourner mes coups de blues en autodérision.

Tout espoir n'est pas perdu, donc.
Inch'Allah !

Je crois en moi, donc ça va marcher.
CQFD.

PS : Je vais me mettre au Roller je crois.
Si ça intéresse des débutants n'ayant pas peur du ridicule...

"La nuit est longue. Où es-tu ?"

Juste parce que ça va devenir une phrase culte.
Et parce que quand j'y pense, je suis morte de rire !!

... Je devrais retourner à Rome, ça aurait plus de cachet :
"La nuit est longue à Rome"
ou "Comincio a sentire la fatica. Buona notte".

Ouais bon ok, c'est un petit délire, une private joke, mais j'ai le droit, c'est MON Blog après tout, et je fais ce que je veux !

... Ceci dit, c'est vrai ça : WHERE ARE YOU ? :p
(sur un malentendu... !)

"On se retrouvera"

Ce n'est pas la première chose qui m'est venue à l'esprit quand je l'ai raccompagnée à l'aéroport de Nice Côte d'Azur ce jour d'été 2001.

C'est ce que je me suis dit quand on a perdu contact, en 2002 ou 2003.

Et j'ai pu vérifier la véracité de cette phrase hier soir sur Facebook.
Je l'ai enfin retrouvée, ma complice d'AOL, la grande malade qui a pointé le bout de son nez à Nice cet été-là...
Fuse, c'était son pseudo !

Haaaaaa les délires, les fous rires, les trucs de chipies qu'on a partagés...
Je me rappelle bien de "Saupiquet", des échanges de compte AOL...
De "QMG".
De cet album photo que tu m'avais envoyé après ton séjour niçois, et qui trône encore sur mes étagères. Et que je regarde de temps en temps avec nostalgie.

Fuse, je suis plus qu'heureuse de t'avoir retrouvée, ça faisait tellement longtemps que je te cherchais...

Juste au moment où je parlais d'un nettoyage de Printemps, tu reviens, et tu as illuminé mon lundi soir !
En espérant que tu restes dans ma vie encore longtemps, car tu m'as manqué terriblement.

... Mouarf hého mais non, je n'expose pas ici un grand manque affectif, c'est juste ma "binarité" qui ressort : Et Fuse, je l'aime vraiment beaucoup !
Et c'est pas parce que j'ai pas de mec en ce moment hein, je compte pas lui rouler une pelle quand je vais la revoir !

En plus, Fuse elle est jolie, et elle va se marier le 7 mai, et je suis contente de tomber juste dans cette jolie période de sa vie !

Comme quoi, la vie n'est pas QUE une ispice di counasse.

Le Ménage

Chez moi, ça commence par balayer devant sa porte.

Exit les parasites et les pompeurs d'énergie.
J'ai besoin d'ondes positives, pas de compétition, ni de relations stériles.

Alors aujourd'hui est un grand jour pour moi : Nettoyage de Printemps.

Première étape :
Un bon coup de Karscher.

Ca ne fera de mal à personne, soyez-en sûrs !

Les yeux qui sentent le cul... ?

Je suis en train de me dire que je vais peut-être arrêter les sites de rencontres...

Parce que les sites de rencontres, c'est binaire (en tout cas, pour les mecs que j'y croise).
Deux races d'hommes :

- Les abrutis pas capable de se ramener à un rencard, ou alors qui appliquent à la lettre la méthode "silence radio" après quelques échanges.

- Les "qui-ont-pas-froid-aux-yeux" et qui me proposent des plans partouzes sans jamais m'avoir vue en vrai.

... Je sais pas si c'est trop compliqué de demander "le juste milieu"...
... A priori OUI.

Je vais aller au cinéma, ça va être bien :)

"Joe la Poisse"

C'est le surnom dont j'ai été taxée pendant longtemps, toutes mes années lycée, et un peu aussi quand j'étais en école de commerce...

Le truc, c'est que la poisse, comme son nom l'indique, c'est quelque chose qui colle à la peau !
Et que c'est comme les chansons populaires, ça s'en va et ça revient.

Alors, quand dans une seule journée, je me réveille avec une angine, ma tranche de pain tombe dans mon toaster, là où elle devient inaccessible, que je fais fondre la prise dudit toaster sur ma plaque électrique encore brûlante, que je fais tomber un paquet de gâteaux par terre, qu'il pleut alors que j'ai lavé ma voiture la veille... Je me dis que "Joe la Poisse is back".

La poisse c'est un état d'esprit, non ?
Alors, je fais comme les gens qui vont bien et pour qui tout va bien, je suis gaie et tout me plaît :)
... Sauf que ça suffit pas.
Mais "Happy Face", comme dirait notre amie Mya !
YEAH !

"Le silence radio"

Ça veut tout dire.

"Qui ne dit mot consent", oui mais non.
Dans le cas du silence radio, "qui ne dit mot te fait comprendre que non franchement, y'a vraiment pas moyen (de continuer / se revoir / d'aller au ciné...)".

A partir d'un "certain âge" (et oui, on va tous devenir des vieux cons, mais en attendant, on acquiert de l'expérience pour "quand on aura 70 ans" !), tout le monde a été victime, ou PIRE, a été l'AUTEUR d'un silence radio.

Alors quand ça arrive (enfin en tout cas pour ma part), ça agace, ça énerve, et lorsque l'on a un ego surdimensionné (ou plutôt une fierté mal placée... On appelle ça comme ça ?), ben on le prend super mal.

Je comprends toujours pas pourquoi, du jour au lendemain, surtout quand tout se passe bien, les gens se permettent de ne plus donner de nouvelles.

Surtout qu'avec toutes les nouvelles technologies, il y a trois milliards de façons d'être lâche tout en étant franc :
- Le SMS
- Le mail
- Le petit mot qui tue sur un Wall FB
- Un statut FB (single / it's complicated)
- Un autre statut FB ("Stéphane Duchmolle kiffe grave sa vie de Don Juan et se tape des dindes au kilomètre !")

... Ben non.
Y'aura toujours des cons pour faire des silences radio.

Et ça m'éneeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrrrrrvvvvvvveeeeeeee !!!

Bon ok, ça m'est déjà arrivé d'en être l'auteur, mais c'était avec un (des ?!) mec(s) de sites de rencontres avec qui j'avais pas accroché le premier soir (pas de bisous / coucheries... Rien de sale, je vous rassure !).

Non parce que moi, je suis plutôt du genre cash :
"Ha bon t'as passé une bonne soirée ? Roh bah je me demande bien pourquoi"
... C'est méchant hein ?
OUI MAIS AU MOINS C'EST FRANC !!!

Bref...
Si quelqu'un a une explication RATIONNELLE, qu'il m'en fasse part.
Je note au passage que c'est un travers plus masculin que féminin...
Arrêtez-moi si je me trompe !

Mon passeport pour le célibat éternel !!!

... C'est la carte UGC Illimitée que j'ai acquise cet aprem !

Jusqu'il y a pas très longtemps, je n'aimais pas trop aller au ciné, je trouvais que c'était cher, qu'il y avait peu de bon films, et que c'était limite une perte de temps (bah oui, on reste assis dans son fauteuil pendant quelques heures, on ressort amorphe), et la plupart du temps, je me disais "BOF".

Ouais ben c'est parce que j'étais une "blasée du cinéma", rien ne me touchait, j'étais un coeur de pierre dans un corps tout mou !
Mais J'AI CHANGE !!!

Ouais ouais, maintenant, j'aime bien aller au ciné, je trouve qu'on y passe un bon moment, et que les week-ends sont plus sympas.
Alors, comme j'ai vu plein de films ces derniers temps, je me suis fait faire une carte UGC.

"Mon passeport pour le célibat éternel et pour une vie sociale quasi inexistante" !
J'ai changé, je viens plus aux soirées ;)

Je pourrais aller aux A.A et me présenter de la sorte :
"Bonjour, je m'appelle Mimi, et je n'ai pas touché un verre d'alcool (mise à part la Sangria de vendredi soir j'avoue) depuis 4 semaines".

Je sais pas en quoi je me transforme...
Je vais mieux, mais je change.
C'est la vieillesse ?
Je suis aigrie ?
Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir ?

Humpf.
En tout cas, la Carte UGC Illimité, c'est LE BIEN !
Et tant pis pour ma vie sociale et mon célibat...
"Qui m'aime me suive" ! ET TOC !

Ca ne m'empêchera pas de me faire des brushings, de râler quand je me casse un ongle, de me coller des ardoises à chaque fois que je vais chez Sephora...
:)

La Nostalgie...

... C'est pas des regrets, c'est pas de la peine, c'est pas tout ça...
C'est juste quand je me rappelle tous les soirs où je me suis endormie dans les bras d'un homme.
Tous les matins où je me suis réveillée en me faisant câliner.

C'est juste que ce n'est plus arrivé depuis longtemps.
Et que j'ai tendance à évincer ce genre de souvenirs...
A éviter de me rappeler que pendant quelques années, c'était mon quotidien.

C'est juste que je me demande...
... Si un jour ça arrivera à nouveau.

La Nostalgie, c'est aussi de me dire que ce soir, c'est samedi soir.
Que je n'ai rien de prévu et que je serai seule.
Et que parti comme c'est parti, la soirée ne sera pas folichonne.

Ceci dit, il faut savoir apprécier ces moments de calme... Non ?

Les Amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics

... C'est la chanson que j'ai dans la tête depuis que j'ai pris le métro pour rentrer chez moi ce soir...
Il y a plein de couples de toutes sortes dans le métro...

C'est drôle parce qu'on a tendance à juger en fonction de leurs dégaines, de leurs comportements, leur manière de se regarder, de se toucher, de s'embrasser même... de leur apparence physique... Alors qu'on ne connaît rien d'eux !

Ils peuvent être ensemble depuis 10 minutes, des mois, des semaines, des années...
S'être rencontré en boîte, au lycée, chez des amis... sur Internet...
On ne sait pas...

Bref, je ne hais pas les couples... Mais ils me rappellent tout de même que je suis seule.
Un choix, certes...
Une souffrance, peut-être...

Le truc, c'est que je suis entière, c'est tout ou rien avec moi.
Je ne pourrai être avec quelqu'un (en couple, quoi), que si je l'ai dans le coeur et dans les tripes.
Impossible de faire semblant, d'être avec un homme pour faire "comme tout le monde'", pour rentrer dans les normes, pour faire plaisir à ma mère...

Je préfère encore être heureuse seule que malheureuse à deux.
Et je sais de quoi je parle.
Dire que je suis "heureuse seule", ce serait mentir.
Mais à quoi ça sert d'être avec quelqu'un juste pour ne pas être seule... ?
Je ne connais que trop bien ce sentiment de mal-être, quand on est dans une situation que l'on a pas choisie... Quand on est malheureux en couple.
Et je n'ai pas envie de le revivre...

Dans tous les couples qui m'entourent, un seul me fait rêver et me permet de croire encore à l'amour, au vrai, au pur...
"Pour le meilleur et pour le pire", ce sont mes Piouxes qui me font dire que CA existe vraiment !
... Mais que c'est rare et fragile.

Bref... Tout ça pour dire que les relations entre hommes et femmes ne sont pas toujours évidentes.
Je ne sais pas bien ce que je veux.
J'ai le mérite de savoir ce que je ne veux plus.

Après, pour le reste, il ne reste plus que la connaissance de soi, le bien-être personnel, et le reste suivra ;)

AMEN :p

PS : je ne suis pas imbibée d'alcool ;)
... Juste un peu lasse d'être "l'éternelle célibataire incasable" !
Oui j'ai un fort caractère, je suis binaire, j'ai des réactions de mec...
Mais putain, j'ai un coeur, et un gros en plus... !!!!
ALORS AIMEZ-MOI BORDEL :p
... Et accessoirement, les hommes, arrêtez de croire que tous les gens gentils sont cons.

L'homme intriguant...

Après l'histoire avec Psycho, j'ai mis énormément de temps pour me remettre, me relever, regarder droit devant moi et avancer.

Pour le Réveillon du Jour de l'An, une amie m'a proposé une super soirée :
Un pote de son ex qui organisait une méga teuf dans un loft en plein coeur de Paris.
Vendu !!!
... Pas trop la tête à faire la fête (encore), mais envie de me bouger et de réveiller la Lionne qui sommeillait en moi !

A peine arrivée et je me dis que l'hôte de la soirée a l'air charmant et très sympa.
La soirée se passe, il y a rapprochement et roulages de pelles avec le jeune-homme (bon OK, il a roulé des pelles à TOUTES les filles de la soirée !)
... Cependant, on passe pas mal de temps ensemble, on discute beaucoup, il me dit des trucs gentils que j'ai pas entendus depuis longtemps... Je ne crois pas un seul mot de ce qu'il dit, quand il dit qu'il veut me connaître et me revoir, mais ça me fait tout de même plaisir à l'intérieur de moi...

Il prend mon numéro, me propose de dormir avec lui ("il ne se passera rien, on ne fera pas l'amour, j'ai juste envie que tu t'endormes dans mes bras")
(bah oui mais j'ai pas mon démaquillant, et demain matin dans le métro, j'aurai l'air de Cendrillon dans sa citrouille avec mon mascara qui aura coulé et ma robe de soirée complètement hors sujet... ! Ouais, on pense à ça nous les filles quand un beau mec nous propose de passer une nuit câline... c'est triste, hein ?!)

Bref, je rentre chez moi, et il m'appelle le lendemain soir pour prendre des nouvelles...
On se revoit 2 ou 3 fois, je vais passer une super soirée très agréable chez lui (bon ok, je peux tout vous dire : une bête de sexe ! :p)
Il vient dormir à la maison, c'est doux, c'est chaud, c'est tendre... pas forcément de sentiments, mais c'est juste bien et simple.

Je sais, par le biais d'une amie, que c'est un gros dragueur, et qu'il a plusieurs nénettes à la fois...
Je le prends donc comme un "fuck friend"...
Et SURTOUT, je ne crois en rien, je suis sans foi ni loi, j'avance et ne me pose pas de questions (je me protège quand même un peu).

De toute manière, pas la peine, puisque l'histoire n'a pas duré plus de deux semaines (je casse le suspense... Vous pouvez disposer, ce n'était pas l'homme de ma vie !)

Au bout d'une dizaine de jours, je me dis que je ne suis pas dans mon état normal : j'ai MEME PAS mené d'enquête sur lui... je ne l'ai pas Googlisé, je n'ai pas (trop) cherché à savoir ce qui se cachait derrière cet homme mystérieux (enfin ouais, je dis "pas trop", parce que j'avais cherché que sur Facebook jusqu'à présent !)

Je revêts donc mon plus bel habit d'Inspecteur Gadget, et tape le nom de l'homme intriguant sur Google...
Et là... MORTE DE RIRE !!!!
Le premier article est un article de journal sur lui...
Un article qui parle des nouvelles méthodes de drague, de comment s'y prennent les "spécialistes"... J'y crois pas, il est interviewé et se vante même d'avoir plein de nanas en même temps... d'avoir changé de prénom pour symboliser sa transformation...
Un livre l'aurait métamorphosé : "The Game"... Avis aux amateurs ;)

Bref, je suis tombée sur un "serial dragueur", qui a suivi carrément une formation de séduction, et qui voudrait être coach "quand il sera grand"...

Bon ça va, je l'ai super bien pris, et je n'ai jamais osé lui dire que j'avais lu l'article...
Ca m'a vraiment beaucoup fait rire, j'ai super bien pris la "plaisanterie".

Et pourquoi, vous croyez... ?
Parce qu'il ne m'a jamais rien promis, il ne m'a jamais menti, il a été juste avec moi, et entier.
Il n'a jamais renié qui il était, il m'a appréciée à ma juste valeur.

Depuis, il a rencontré quelqu'un, ils ont l'air heureux ensemble, et je suis contente pour eux.

On a gardé plus ou moins contact, c'est quelqu'un qui m'a marquée.
Bizarrement, il m'a donné le coup de boost qui me manquait pour aller mieux, il m'a redonné confiance en moi.

La "découverte" aurait pu me faire dire "mais non mais putain, mais je tombe que sur des cas"...
Ouais ok, j'ai dit ça quand même, mais j'ai pas eu mal.
En fait, j'ai trouvé ça drôle, inhabituel, décallé...
Je me suis dit "What The Fuck ?!"
... C'est tout !

Après Psycho et jusqu'à lui, j'étais bloquée et un peu ravagée.
Depuis lui, mon regard pétillant est revenu, tout comme ma rage de vivre et mon poil soyeux ;)

Merki à toi finalement, Homme Intrigant, et belle route avec ta dulcinée ;)

Vous reprendrez bien un peu de gencives de porc...

Des abrutis et des incompréhensibles, j'en ai croisés...
Mais alors je dois dire que parmi mon Top 5 se trouve celui que je nommerai "GDP".
(Pourquoi GDP ? Ben pourquoi pas, après tout !)

GDP et moi, on s'est trouvés sur un site de rencontres dont je ne nommerai pas le nom, et on s'est vus "pour du vrai" après avoir échangé plusieurs mails, en Novembre 2008.

Un soir, on est allé boire un verre, voire 2, 3 ou 4 (c'était dans ma vie d'avant, quand j'étais une inconditionnelle alcoolo :p), et tout s'est super bien passé : on s'est marré, on a beaucoup discuté, quand il est sorti de la bouche de métro, je me suis dit "WHAOUH" (c'est rare que je me dise "whaouh", je suis plutôt du genre à dire "il a l'air sympa...").

Après cette soirée, on a essayé de se revoir, mais il n'a pas beaucoup mis de coeur à l'ouvrage...
Il avait toujours trop de boulot, le week-end, il avait roller ou foot, et après plusieurs tentatives, j'ai abandonné, me disant que s'il avait des excuses avant même qu'il se passe qqch, c'est que ça sentait pas vraiment très bon...

Plusieurs mois se sont écoulés après ça, il était dans mes amis Facebook, et on s'envoyait des petits messages sur nos Walls respectifs de temps à autre (c'est beau la technologie !).

Jusqu'au jour où je rencontre "l'Homme Débraillé" sur un autre site de rencontres (ouais, je suis bêta testeuse, si vous avez des sites de rencontres à lancer... pour info !).
Avec l'Homme Débraillé, on va boire des coups à droite à gauche, on se balade, et on se retrouve dans le bar où j'étais allée avec GDP.

On se pose, on boit (ouais, j'ai pris un COCA LIGHT, j'avais commencé à changer de bord déjà), et qui vois-je ??
... Bah ouais, GDP qui se pointe vers moi, me tape la bise et me dit "t'es bien la dernière personne que j'aurais pensé croiser ici"... Et oui, je suis imprévisible, Super Mimi !!!
Donc GDP part retrouver ses potes, et moi, je pars au resto avec l'Homme Débraillé.
GDP nous voit sortir, me rattrape et me glisse à l'oreille un "appelle-moi pour qu'on se voie dans la semaine"... il me claque un sourire à 10 000 Dollars, suivi du petit clin d'oeil qui va bien.
Je rigole et je lui dis "ouais ouais, on verra"...

Du coup, le soir je rentre chez moi et lui envoie un mail sur Facebook : "redonne moi ton N° si tu veux que je t'appelle, c'est tout de même plus pratique".
Bref... On décide de se revoir, et le Monsieur me plante deux fois d'affilée.
Avec toujours la même excuse "J'ai trop de boulot".

... OK très bien...
Je décide de lâcher l'affaire.

Une semaine plus tard, soirée d'adieu d'un pote qui part vivre à l'Etranger toujours dans le même bar (quand on aime, on ne compte pas !), et re-tombage nez à nez avec GDP qui m'invite à aller fumer une clope.

Dehors, il me dit qu'il est désolé pour les faux plans, et il me propose qu'on se voie le samedi qui vient...
... Je lui dis que ça se négocie, s'il a pas poney, piscine, badmington, ping-pong, tennis, potes, foot, bière, roller, boulot... Ca peut ptêt le faire... (vous avez dit "trop conne"... ?)

A ma grande surprise, il m'appelle le vendredi soir pour savoir si c'est toujours OK pour le lendemain... et me demande ce que je fais le soir même.
Le soir-même j'allais prendre un apéro-traquenard (vous savez, le coup de "on va juste boire un verre" et on finit à 3h du matin complètement torché... ?), et je lui dis qu'il connaît l'adresse, s'il veut passer...
Il nous rejoint, on passe une bonne soirée, je le charrie gentiment avec une copine sur le fait qu'il va me poser un lapin le lendemain, et on rentre chacun chez nous.

Le lendemain matin, SMS de GDP :
"Comme prévu, j'annule pour ce soir. Pas la motive pour bouger. Désolé".

Ce à quoi je réponds, encore dans l'euphorie de la veille :
"T'as vraiment un humour de merde..."

... 18h, no news du jeune-homme... Je décide de lui envoyer un sms :
"Hmmm en fait, c'était pas une blague... ?"
... Pas de réponse...

Je l'appelle une heure plus tard...
2 sonneries, répondeur... IL M'A RACCROCHE AU NEZ CE CON !

... Je décide d'aller voir sur Facebook s'il est connecté :
Bah il m'avait shooté de sa liste d'amis...
Je lui envoie un mail pour demander une explication, il répond :
"Pour ce soir, c'est dû à hier soir, et c'est volontaire. No comment."

...
POINT.
Fin de l'histoire.
Jamais eu plus d'explications... à n'y rien comprendre !

Les gens sont FOUS !
... Mais j'avoue : je suis aussi un peu niaise parfois.

Les Compliments...

... C'est sympa quand c'est spontané et sincère.
Mais point trop n'en faut.

"Tu portes mieux les baskets que n'importe quelle autre fille sur cette Planète".
Janvier 2008, on l'appellera M. Malhabile, 27 ans à l'époque.
Véridique.

Conclusion : Je suis partie sans plus jamais donner de nouvelles.
Je sais c'est mal.
Mais c'était au-dessus de mes forces.

Pis en plus, Psycho avait son adresse et voulait lui péter la gueule.
J'ai fait face à l'adversité, ai revêtu mes plus belles baskets (celles en velours avec des lacets en satin), et ai appliqué à la lettre le fameux adage "Courage, Fuyons !!!"

Mimi : 1
M. Malhabile : 0.
Try Again :p

Mister Chocolate

"Toi, t'es comme le chocolat : On devient vite accro".

Voici le SMS que j'ai reçu d'un jeune homme de 27 ans... Cette année...
Que j'avais embrassé UNE FOIS en le raccompagnant à sa voiture un soir...

Je suis contente d'être comme du chocolat...
Forrest Gump sors de ce corps !

Cap ou pas Cap... ?

En fait, pour la petite histoire, j'avais juré, après ma dernière histoire foireuse, que si le prochain mec que je rencontrais était lui aussi un Cas, j'ouvrirais mon Blog.

Mes histoires de fesses et de flirts pourris font rire mes potes.

Ce qui est bien, c'est qu'à chaque fois, une nouvelle espèce d'homme entre dans ma vie.
J'ai connu des psychopathes, des fous, des qui-veulent-se-marier-à-tout-prix, des inintelligents, des lourds, des menteurs, des lâches... Des qui posent-des-lapins.

Bref, sacrée panoplie à mon actif, mais comme tout le monde, je présume...

Donc, le dernier en date, il fait des blagues pourries ET pas drôles sur MSN le jour où on est censé avoir un rencard.
Il ne me propose rien, puis finit par demander à quelle heure je préfère aller au ciné.
Je lui réponds "18h", il me dit "ho ben moi, je préfère 15h. Tant pis. Bye".
...
Du coup, voyant qu'il ne ponctue pas sa "blague" par un "lol" ou un smiley bien pourri, je reste connectée une petite demie-heure (le "bénéfice du doute", vous connaissez ?), puis décide de m'en aller faire ma vie...

Je vais donc au ciné avec des copines, et en sortant, 3 sms du Monsieur qui me cherchait, puis deux messages vocaux disant qu'il était devant le cinoche, qu'il m'attendait... Et qu'il espérait que je ne lui avais pas posé de lapin...

.... Le soir, j'écope d'un "merci pour cet aprem" sur MSN.
... Les hommes sont vraiment fous.
Après explication, il aura compris (ou pas) que j'aime pas trop les blagues merdiques lorsqu'il s'agit de choses "sérieuses".

Le Pire de tous ! 2ème partie

... Après cet épisode malheureux, j'ai cru que c'en était fini pour de bon, de Psycho et moi.

Mais c'était sans compter sur sa "psychottitude", il ne disparaissait pas du décor, revenait très régulièrement vers moi, oscillait entre des "tu es la femme de ma vie, reviens-moi je ne peux pas vivre sans toi" et des "tu n'es qu'une traînée, tu te tapes plein de mecs" (bah oui hein, j'ai pas fait voeu de chasteté non plus...). Sans compter sur ses menaces de suicides récurrentes.

Pire que psychopathe, il hantait les couloirs de mon immeuble, connaissait souvent (voire tout le temps) le nom de mes petits-amis potentiels (parmi eux, des perles de débilité, à découvrir !), leur adresse...

Entre tout ça, il y avait sa "maîtresse", sa "serpillière" comme j'aimais à l'appeler : M2 !
M2 a toujours été présente après notre rupture, il y avait Psycho, moi, M2... Souvent, elle revenait sur le tapis, puis disparaissait, il n'en parlait pas, mais je le connaissais assez pour savoir qu'il n'était pas seul. Jamais.

Trop fière pour ouvrir les yeux, trop aveugle pour tourner les talons...
Envie de faits réels.

Jusqu'au jour où j'ai découvert le pot aux roses...
Le jour où j'ai rencontré M2. Où les nerfs ont lâché, et où mon épopée s'est arrêtée.

Un jour de Juillet 2008, j'ai contacté M2. Je lui ai tout raconté, les deux années passées, les interludes de Psycho dans ma vie, ses faits, ses gestes, ses dires.

Elle a voulu des preuves plus concrètes, j'ai proposé que l'on se voie.
Ma pire ennemie, celle que je m'imaginais sangsue, faible et aveugle...

On est allée dans un Café, on a discuté. Longtemps. Trèèèèèèèèèès longtemps.
Même M6 Prod n'avait jamais pensé à un tel scénario.

Pendant cet entretien, elle m'a tout raconté : Plus de deux années (2,5 pour être précise) à vivre le parfait amour avec Psycho. Dans le meilleur des Mondes...
Pendant sept mois, il m'a trompée avec elle.
Pendant toute leur relation, il l'a trompée avec moi, et qui sais-je encore...

Pendant ces deux années, il m'a salie, a dépeint un portait ignoble de moi, et en parallèle, il construisait et se projetait dans l'avenir avec M2.

Elle m'a crue. On s'est tout dit.
On a convié Psycho à notre interlude. Il ne savait pas qu'on était toutes les deux.
Il est arrivé, il s'est assis, je suis sortie de ma cachette et il a pali. Il a compris.
Un mauvais film de série B.

Il s'est mis à pleurer, à me regarder en disant "Mimi JE T'AIME !"
... A lui dire "Mais c'est avec toi que j'ai envie de faire ma vie".
A répéter que c'était de ma faute, que je le violais régulièrement (LOL si quelqu'un est partant pour un viol, sachez que je suis une folle dingo !)...

Il n'y a pas eu de pugilat.
Je suis repartie seule.
Elle est repartie avec lui, lui a balancé ses affaires.

Elle a été mal pendant des mois probablement.
J'en ai été malade.

Il m'a harcelé un petit moment, j'ai eu droit à pas mal d'insultes.
J'ai tenu bon. Je n'ai jamais réagi à ses provocations.

Aujourd'hui, je n'ai plus de nouvelles de M2, mais je sais que Psycho a emménagé avec une autre.
Une autre, avec un enfant. Qu'il a certainement connue avant que les deux "M" découvrent le "poteau rose" (comme j'aime à l'appeler).

Voilà, c'était pas très fun, mais c'était pour poser le décor.

Aujourd'hui, j'en ris.
La page est tournée, et la vie est une fête.
Les mauvais coups de la vie, même les plus durs à encaisser, nous font grandir.
Je suis grande et forte, et mes yeux pétillants sont de retour parmi les vivants.

Et c'est bon de vivre et de se sentir bien dans ses baskets :)

Promis, la prochaine sera plus rigolote !

Le Pire de Tous ! 1ère Partie...

... Et oui il en faut bien un...
Et nous le nommerons Psycho, pour ne pas nuire à son image "de marque", à sa façade zéro défaut, premier de la classe, et de l'ami que tout le monde aimerait avoir, le petit ami idéal, le gendre idéal, bref, tout qui va bien...

Donc, Psycho est ma grande histoire d'amour, celle avec un grand A, c'est celui qui m'a fait monter à la Capitale (une des seules choses de bien qu'il ait faite avec moi), celle qui a duré 2 ans 1/2 officiellement, 4 ans 1/2 officieusement, et qui m'a moralement anéantie pendant longtemps.

Mais, comme un Phoenix qui renaît de ses cendres, je suis bel et bien là, fière comme Artaban (oui, j'ai des super références culturelles), et plus amoureuse de la vie que jamais.

Bref, revenons-en à Psycho et moi...
Donc, avec Psycho, nous avons vécu une histoire, et une belle, on a connu l'amour, la vie de couple, les disputes...
Il me rabaissait souvent, utilisait des petits mots doux tels que "Grosse Bouffe" à mon égard... "Le Gendre Idéal", oui oui :)
Il m'offrait des sacs Longchamp, des bijoux, des Ipod, des fringues de marque...
Son arme principale : La Manipulation.

Au bout de quelques temps, il semait la zizanie, créait des disputes en public, me faisait passer pour la vilaine méchante pas belle (alors que bon, n'importe qui me connaissant sait que je suis une super bombasse de la mort, quoi !)...
Et j'ai mal vécu la fin de notre relation, périmée à jamais un beau jour de Septembre 2006.

Ce jour-là, j'ai également découvert qu'il m'avait trompée...
Avec une jeune fille au même prénom que moi, que nous appelerons M2 (mimi bis, quoi)...
Je l'ai découvert en toute innocence, en fouillant dans le portable de Monsieur, qui l'avait laissé traîner dans la salle de bains...
En trouvant un SMS de la part de "Guillaume Durand", son collègue et néanmoins binôme...
Guillaume donc, avait envoyé ce SMS à mon ex cher et tendre "J'ai passé une superbe nuit avec toi, c'est trop bon de me réveiller avec ton odeur dans mes draps".

Ne sachant pas quoi penser sur le coup, je regarde dans les Sms envoyés : "Merci petite fille. Tu es une véritable bouffée d'oxygène dans mon coeur".

Ha... CRAC... Il appelle son collègue "petite fille" ???? me dis-je un peu secouée...
Ni une ni deux, j'appelle le fameux Guillaume et tombe sur son répondeur : "Bonjour, vous êtes bien sur le portable de MIMI BIS (...)"...
QUOI ??? Je me sens donc trahie...

Après une sortie furieuse de la salle de bains, j'attrape la valise de Psycho et lui prépare à la va-vite un billet Aller Simple pour "n'importe où mais pas chez moi"...

Là, il me jure que cette fille, il ne la connaît pas, qu'il l'a rencontrée la veille, et qu'elle était là alors qu'il avait pleuré toutes les larmes de son corps...
Bah oui, et bien au moins, il ne se trompera pas de prénom avec elle...

... La suite au prochain épisode... ?
OUI :)

Pourquoi un blog ?

Alors voilà...

Tout le monde se demandait quand Mimi allait ouvrir son blog...
Parce que tout le monde se marre et pousse des gros "hooooooo" "haaaaaaaa" "noooooonnnnnnnn ???" quand je leur raconte ma vie sentimentale.

Parce que trop de débiles dans une seule vie tue la débilité.

Parce que souvent on m'a dit que beaucoup de filles / femmes se retrouveraient dans mes écrits.

Parce que je fais pas trop de fautes d'orthographe et que ça vous piquera pas les yeux...

Alors voilà, un blog pour toutes ces raisons,
"Mieux vaut en rire qu'en pleurer" comme disait l'autre...
Et aussi parce que "la vie est une célébration légère", comme disait quelqu'un que j'ai croisé un jour et qui m'a marquée :)

Donc, dans un prochain "billet" (si je parle comme une geekette un jour faudra me le dire... A priori, c'est pas prêt d'arriver... :p), mes péripéties passées... Parce que ça vaut le coup d'être raconté ;)

Et les présentes... Parce qu'il y en aura d'autre... Heureusement et longue vie à mon blog d'expériences inédites !!! :)