dimanche 19 décembre 2010

No Zob @ Job

C'est une règle d'or, non ?

Enfin, pas pour tout le monde a priori, puisque rien qu'à mon travail, sur une cinquantaine de personne, au moins 6 couples se sont formés.

Et moi comme par hasard, il suffit que je tombe sur celui qui me dit qu'une relation amoureuse avec une collègue est in-envisageable, en dépit du fait qu'on soit complices, sur la même longueur d'onde, qu'on ait la même vision de la vie et des choses, et surtout en dépit du fait qu'on ait eu des rapports sexuels dans la semaine.

Mais putain mais c'est tellement compliqué, j'ai envie de crier, de taper sur les murs, de chercher du boulot ailleurs...
C'est moche de sentir que la personne en face est peut-être "the one", et que, sous prétexte qu'on ne couche pas avec ses collègues, on se laisse mutuellement passer, pour finir avec je-ne-sais-qui qu'on n'aurait pas vraiment choisi. Juste parce que c'est plus simple.

Et en même temps, voici une question qu'elle est bonne : C'est OU qu'on rencontre l'homme de sa vie ?

- En soirée, j'ai arrêté d'espérer, les gens que je rencontre n'ont rien d'intéressant ni de profond,

- Dans son cercle d'amis : Perso, si "Mister Mixpérience" était un ami à moi, je l'aurais déjà capté,

- Sur son lieu de travail : Ha ben non merde, "No zob @ job" on a dit.

- Dans les mariages : Encore faut-il avoir des amis qui se marient, qui nous invitent, et qu'ils aient des amis célibataires qu'on n'a pas encore eu l'occase de rencontrer.

- Sur des sites de rencontre : encore faut-il que la personne en face soit réellement célibataire, qu'elle nous plaise (et qu'on lui plaise en retour), qu'on s'intéresse un minimum mutuellement pour avoir envie de se revoir, qu'on ait des choses à se dire, qu'on ne soit pas diamétralement opposés. En gros, bon courage, c'est pire que le Loto...

En résumé, je suis une grosse looseuse de l'amour, une Bridget Jones des temps moderne, une championne du monde d'échecs.

J'ai appris à connaître ce collègue, on a su s'apprivoiser, se rapprocher, s'intéresser, s'attirer, se compléter... et putain, mais merde c'est vraiment à chier comme histoire.

lundi 15 novembre 2010

L'alcool c'est mal !

... ouais et a priori, c'est moche aussi !

L'autre soir, on est parti faire la fiesta avec une amie de débauche et son cousin, que je n'avais jamais croisé.
On a passé une soirée sympa, et moi, j'ai bien accroché avec son cousin.
Bon, on a pas mal picolé aussi, j'ai parlé de cul, j'ai dit aussi plusieurs fois que j'avais un peu envie de vomir en fin de soirée (mais je suis restée digne !)

On est rentré à trois en taxi, on a déposé le cousin chez lui, et avec Ginette, on est allé dormir chez moi.

Quelques semaines après, elle a revu son cousin, et je ne pouvais pas être de la partie car malade.
Mais ils ont parlé de moi, elle lui a demandé ce qu'il avait pensé de moi.

Il a dit que j'étais très sympa, qu'il avait bien accroché, et qu'il aimait bien mon caractère franc, limite rentre dedans.
Qu'il aurait bien répondu à mes "avances", mais... MAIS... mais que j'étais trop bourrée.

Mon Dieuuuuuuuuuuu quelle HONTE !
M'entendre dire à quasiment 30 ans qu'un mec n'a pas voulu de moi parce que j'étais trop bourrée...
J'en avais fait des belles, mais celle-ci est fantastique !

En tout cas, en y repensant, ça me fait deux effets :
- Le premier effet Kiss Kool : "putain la honte".
- Le deuxième : "Haha énorme, en même temps on a qu'une vie, bien fait pour ta gueule, et la prochaine fois, tu boiras du Coca Light" !

FIN.

vendredi 5 novembre 2010

Les remords / Les regrets...

Il s'appelait Sébastien, et on s'est rencontré à une formation dans mon ancien travail.
Nos regards se sont croisés et quelque chose de magique s'est passé. Souvent, je repense à cet instant unique, qui ne s'est jamais reproduit.
On a passé la journée en formation, j'étais déconcentrée par son regard perçant, mon coeur se mettait à battre la chamade dès que nos yeux se croisaient. C'était une journée spéciale.

Après la formation, j'ai trouvé une excuse pour prolonger la rencontre.
Nous travaillions dans la même boîte, mais sur des sites géographiquement opposés. Je n'étais pas amenée à le revoir.
Du coup, nous nous sommes baladés à la Défense, nous avons bu un verre, puis deux, puis trois... On ne voulait pas se quitter.
On a dîné ensemble.
Malgré la magie, il a bien fallu rentrer chez nous.
Moi, j'avais Psycho dans ma vie. Il me rendait malheureuse, il me trompait déjà depuis longtemps, mais je ne le savais pas, et rien que l'idée de le tromper me rongeait les tripes.

Sébastien m'a raccompagnée au Métro, on s'est échangé nos numéros.
Un chaste baiser sur la joue.

Il m'a recontactée, on devait se voir un samedi.
Psycho n'était pas sur Paris ce Week-end là, ou plutôt peut-être que si, mais chez sa maîtresse.
Le vendredi soir, on s'est engueulé très fort. Je n'ai pas dormi de la nuit, il y a eu des tonnes de larmes, des cris, des pleurs. Une énième dispute, je ne sais plus trop pourquoi.
Le samedi, j'ai dû aller bosser tout de même.
Sébastien lui, avait pris sa journée, il avait préparé le programme de la soirée, un programme digne d'une soirée de princesse.
Et moi, j'étais éreintée par tant de chagrin et de lutte la veille, par une journée de travail fatigante. Une tête pas possible, des cernes jusqu'aux genoux et le coeur en berne, j'ai dû l'appeler pour annuler cette soirée de princesse qu'il m'avait concoctée.

Il a été vexé.
Je l'ai relancé un peu, lui ai expliqué que j'étais dans une situation compliquée avec Psycho, mais que je n'imaginais pas le tromper.... Que je ne pouvais pas.

Finalement, Sébastien a laissé tomber.
Nous ne nous sommes jamais revus, et je garde un goût amer de cette rencontre si magique.
Je ne sais pas ce qui se serait produit si jamais j'avais osé...
... Mais quoi ?

Ca, c'est LE regret de ma vie.
J'ai essayé de le retrouver, Google, Copains d'Avant, des anciens collègues... J'ai tout tenté, rien n'a abouti.
Et quand j'y pense, j'ai le coeur en friche.

Rester honnête face à un gros enfoiré qui m'a trompée sans vergogne pendant sept mois... J'en ai encore la rage au ventre.

mercredi 22 septembre 2010

Statistiques

Quelle était la probabilité pour que dans le même week-end :

- Le pilote de l'avion Paris-Nice soit mon cousin qui m'a pourrie quand je lui ai rendu son appart de merde,

- Je me retrouve face à Psycho en salle d'embarquement à Nice ?

.... Moi, je dirais qu'elle était quasi-nulle, que je continue à me demander pourquoi alors que finalement, on s'en fiche.
Je devrais m'en foutre, me dire que c'est juste un concours de circonstances et aussi un peu de malchance.
Mais non, ça se tourne et se retourne dans ma petite tête.

Est-ce peut-être un signe pour marquer une fin à toutes les mauvaises choses qui me sont arrivées dans ma vie ?

J'ai du mal à encaisser mon célibat ces derniers temps, je me réveille en pleurs, en sueur, j'aimerais tellement avoir quelqu'un contre qui me blottir, me reposer parfois...
Quelqu'un à qui parler le soir, à qui me confier, avec qui rigoler, aller au ciné, me promener, rigoler, trinquer...

Et MERDE, ma vie est tellement mal faite !

Mais au moins, on pourra dire que si j'arrive à quelque chose un jour, je ne devrais mon succès qu'à moi-même (et un peu à mes parents quand-même, faudrait voir à pas les oublier !).

En attendant, je regarde D&CO, seule dans mon canap.
Et je songe à investir dans des piles rechargeables !

lundi 13 septembre 2010

Y'en a marre

qu'on tourne mon célibat en dérision, tout le temps...
Y'en a marre des "petits couples modèle" qui n'arrêtent pas de montrer du doigt les hommes les plus moches qu'on croise en ricanant et en hurlant "Regarde Mimi, je t'ai ENFIN trouvé un mec" !

... Oui y'en a marre, parce qu'être célibataire n'est pas une fatalité,
Que si je voulais être casée avec n'importe qui pour faire comme les autres, ça serait fait depuis longtemps,
Et que parfois, je ne le vis pas bien.

Mais sérieux, être en couple pour ressembler à certains que je connais, ça ne me fait pas rêver.

Alors qu'on me foute la paix, qu'on arrête de se foutre de ma tronche de célibataire, et qu'on OUBLIE un peu que je suis de bonne composition.
Parce que merde, la dérision, ça va un temps... mais après, ça peut gonfler, et voire même faire de la peine. ET OUI !

dimanche 15 août 2010

L'illusioniste...

Les histoires de merde, je les accumule, c'est clair.
Les mecs qui ne valent pas une cacahuète aussi, c'est un fait.
C'est pourquoi j'avais dit que 2010 serait l'année sans pénis... En étant sérieuse en plus !

... Et puis en 2010, Il est revenu dans ma tête, comme ça, sans crier gare.

L'illusioniste en fait, c'est un homme que j'ai rencontré il y a 2 ans sur un site de rencontre. On discutait de temps en temps en ligne, puis on s'est "connecté" sur Facebook... à moment donné, les échanges de mail ont commencé à fuser, et je me suis dit que ça serait bien qu'on se voie "pour du vrai".
Sans aucune arrière pensée pour une fois, il a 9 ans de plus que moi, deux enfants et une séparation à son actif, petit passif un peu lourd pour une midinette comme moi de 26 ans à l'époque.

On se voit donc, on se fait un resto, on discute pas mal, on rigole bien.
On se quitte, chacun rentre chez soi, et il m'envoie des SMS, me complimentant, me disant qu'on se revoit vite, etc.
Il y a deux ans, je n'avais pas réellement donné suite, me disant que ce n'était pas quelqu'un pour moi, trop âgé, j'étais aussi encore préoccupée par mes histoires un peu trop compliquées... je ne voulais pas tout mélanger.

Cependant, on a toujours gardé plus ou moins contact, il s'est mis avec une femme séparée, avec des enfants... Ils sont resté un peu plus d'un an ensemble, puis se sont quittés.

Moi, pendant tout ce temps, j'ai cogité, et l'Illusioniste revenait régulièrement dans mes pensées... Je me disais que j'avais été stupide de le laisser passer, car il pouvait potentiellement être un homme avec qui je m'entendrais bien, voire même beaucoup plus si affinités confirmées...

Du coup, on s'est revus après sa séparation, et on s'est rapprochés.
Ca s'est fait doucement, spontanément, on était tous les deux dans le même mood.
On s'est finalement "mis ensemble" (avec tous les guillemets que cette expression peut comporter), et même s'il me disait qu'il avait morflé et qu'il vivait uniquement l'instant présent, on a vécu de très jolis moments.

Une semaine après ce rapprochement, il est parti un mois en vacances avec ses filles.
Etant donné qu'il m'avait prévenue qu'il avait besoin de faire le vide, je l'ai laissé, sans d'autre optique que "Wait and See".
Ce qui s'est passé, c'est que pendant quatre semaines, j'ai eu des nouvelles de lui tous les jours : SMS, mails, petites photos... pas un seul jour ne s'est écoulé sans message de lui. Pas un seul.

Du coup, sans m'emballer outre mesure, je m'étais faite à l'idée qu'on se reverrait à son retour, et que ça ne pouvait pas être autrement.
J'ai toujours mis un bémol à cette issue cependant, ayant été échaudée par d'autres rococos auparavant. Mais bon. Des nouvelles chaque jour, pour quelqu'un qui compte faire le vide, c'est beaucoup.
Alors je me suis dit que peut-être, je comptais un peu pour lui.
Je me suis dit que "qui vivra verra", mais qu'on se retrouverait à son retour. Même juste un peu, juste une fois, même si après, on se rendait compte que nous deux, c'était pas idyllique.

Et bien non.
A son retour, j'ai osé lui demander quand on pouvait se voir.
Il m'a répondu "pas maintenant en tout cas, j'ai besoin de faire le vide".
J'ai eu de brèves explications illogiques, un peu vides de sens...
Comme quoi il ne le sentait pas avec moi, par exemple, qu'il avait bouclé tous ses Week-end jusqu'à fin août, et que je ne faisais pas partie de ses projets.

Soit, oui mais alors pourquoi tous ces messages ?
Pourquoi toutes ces petites pensées, ces petits mots doux, ces photos, ces SMS ?

Et aussi, pourquoi a-t-il disparu de ma vie du jour au lendemain, alors qu'il était constamment présent depuis quelques temps ?
Pourquoi avoir entretenu le truc alors qu'il savait très bien qu'on ne se reverrait plus ?!
Pourquoi n'a-t-il même pas pris la peine de décrocher son téléphone pour me parler ? pourquoi n'a-t-il pas voulu me voir... juste une dernière fois ? Pourquoi ai-je du lui tirer les vers du nez pour qu'il me dise que c'était fini ?
... J'aurais pensé qu'à l'approche de la quarantaine et un certain vécu, on aurait un peu plus de classe que ça... Mais en fait, je me rends compte que ça n'a rien à voir avec l'âge.
La lâcheté finalement, ça doit réellement être un problème de chromosomes, et non de temps.

... Toute cette histoire est illogique et incompréhensible, et c'est bien ça qui m'attriste le plus.
Non pas que j'aie été amoureuse de lui, non pas que j'aie imaginé une seule seconde faire ma vie avec lui.
Ce qui me fait le plus de mal, c'est ce silence radio. Mortel.

Mais quand même.
Pourquoi m'arrive-t-il toujours les mêmes plans galère ?
Pourquoi est-ce que, pour une fois, je ne pourrais pas vivre une histoire simple ?!

... Pourquoi est-ce que ça ne marchera JAMAIS ?!

Je crois que j'ai un problème sérieux avec les mecs.

Du coup, me reste plus qu'à trancher entre le célibat éternel, et me taper des wagons de mecs qui n'en valent pas la peine, mais au moins j'aurais une vie sexuelle active...

Putain de vie de merde.

lundi 2 août 2010

Toutes les bonnes choses ont une fin...

... Oui, mais ça serait bien que ça dure !
Se faire larguer par SMS, c'est très moche, et ça fait se sentir tellement important...
La classe péruvienne, ça c'est certain !

Bon mais alors...
C'est quand le bonheur ?!

Au secours, ma vie est un désastre,
Ma vie sentimentale est un échec total,
Ma vie professionnelle ne vaut pas une cacahuète,

Je me demande de quoi demain sera fait, et quand je pourrai être heureuse plus de quelques jours...

Demain peut-être !

lundi 5 juillet 2010

La simplicité...

... ça a du bon !

Ma vie en ce moment est simple, le moment présent est joli, alors pourquoi se prendre la tête inutilement avec les tracas quotidiens ?
Pour le reste, on verra, mais vraiment pas envie de questions existentielles et/ou métaphysiques.

Et si pour une fois, j'arrêtais de penser, et je me laissais voguer à la rêverie ?

Quand c'est simple, c'est mignon.

Ne rien compliquer, même si on marche sur un fil, c'est si agréable...

Encore un mois à penser comme ça, après, on aura tout le loisir de se demander, de douter, de penser, d'arrêter de respirer.
Mais quand bien même, ça peut aussi durer.

Sensation de légèreté, yeux qui pétillent et sourire radieux.

C'est tout ce qui fait mon bonheur en ce moment.
Le rétroviseur on s'en fout, les casseroles aussi.
Ce qui compte après tout, c'est d'être heureux, non ?

dimanche 30 mai 2010

Parce que ça fait longtemps....

... et qu'on est dimanche 30 Mai, qu'il fait un temps de mois de Septembre, et que je suis seule chez moi... J'en profite pour faire "vivoter" ce Blog.

Ayé, j'ai déménagé dans mon nouvel appartement de Princesse, que je meuble chaque jour un peu plus, avec (mes) goût(s) et mes envies.
C'est tellement bon d'avoir un chez-soi rien qu'à soi, pas de comptes à rendre à des quelconques membres d'une famille bien dégueulasse (il faudra qu'on m'explique la notion de "esprit de famille" parce qu'ils ne doivent pas avoir la même que tout le monde chez moi), et surtout quelque chose de propre et neuf !

C'est incroyable, je n'aurais jamais pensé que changer d'appartement me ferait tant de bien.
Plus de souvenirs ni de mauvaises vibes, tout à reconstruire.
La nouveauté a du bon, j'avoue !

Côté sentimental, c'est le calme plat pour ma part.
Mes dernières amies célibataires sont en train de se caser, et même si je suis heureuse pour elle, je ne peux m'empêcher de me demander quand viendra mon tour...
Cette fois c'est sûr, je suis la dernière.

Toutefois, en ayant eu marre de faire n'importe quoi, je me suis focalisée sur la Quête du Graal. Choix qu'il faut assumer, et ce n'est pas toujours évident.
Mais je tiens, même si c'est dur. Je persévère dans le fait de me dire qu'il n'y a que comme ça qu'il pourra m'arriver quelque chose de bien, et que, même si c'est une période difficile, il faut peut-être en passer par là pour arriver à THE rencontre.

Tombe la pluie, humeur morose aujourd'hui...
Dommage, j'avais prévu d'aller à la piscine.
"Demain".

lundi 19 avril 2010

Le déménagement....

Ce n'est pas une futilité de déménager...
Sérieux, hein !

Moi, je pensais que le jour où je déménagerais ne serait que joie, bonheur et nouvelle vie, mais j'avais juste omis le "terre à terre" : les cartons, le tri, la poussière, la réservation de camionnette un WE + jour ferié en même temps (la fête du travail hourra !).

Et bien ce Week-end, j'ai affronté mon armoire (la grosse qui ressemble à une penderie pour une famille de 4 personnes remplie d'habits à moi), et je l'ai vaincue !
OK, ce ne fut pas une mince affaire, mais je suis même venue à bout de toutes mes paires de chaussures !

Me reste plus que plein de machines à faire tourner, faire des cartons, et on sera OK pour la nouvelle vie de Mimi !

Sinon, côté mecs, puisque c'est un peu la base du pourquoi du comment j'ai créé mon blog, on peut dire que c'est le désert de Gobi.
Normal après tout, c'est moi qui l'ai voulu, et qui l'ai eu.

Paradoxalement, je suis toujours sereine par rapport à ce choix, même si toutes mes amies se marient et font des bébés. Enfin... comme dirait un grand philosophe "tout vient à point à qui sait attendre"...

Ouais bah j'ai été sage, du coup, faut que je fasse ma lettre au Père Noël, c'est bien ça ???

mercredi 17 mars 2010

Comme diraient Dora et Babouche...

... C'est GAGNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE \o/

Bon voilà, j'ai trouvé le Graal, ce ne fut pas une mince affaire, plusieurs mois de galère, des déceptions, des colères, une semaine de vacances, et 18 visites d'appart' plus tard... Je l'ai trouvé !!!

Un super appart qu'il est trop mignon, tout rose et avec un balcon, une cuisine équipée, une porte blindée, un quartier commerçant et populaire, un Franprix en bas de l'immeuble, une boulangerie juste en face.
Very good, c'était tout ce dont j'avais besoin !

Emménagement prévu début mai, je suis super excitée à l'idée de quitter mon appartement actuel, malgré un petit pincement au coeur, car j'ai vécu presque 6 ans dedans... Il s'en est passé des choses ici... Peut-être trop.

Une nouvelle vie qui commence, des nouveaux souvenirs à construire, un nouveau quartier, un chez moi rien qu'à moi, que j'ai choisi et où je me sentirai bien...

Magnifique !

On est mi-mars, j'ai trouvé un logement.
2010 est une bonne cuvée !

To be continued ? Yes indeed !

samedi 13 mars 2010

Rentrée de Blog

C'est vrai, je ne suis plus très bavarde depuis le début de l'année.
Bizarrement, ça coïncide avec ma période de "ramad'hommes".
Etrangement, je me sens très zen en ce moment (en ce qui concerne mes relations), je me tiens à mes résolutions, et ça rend les rapports entre moi-même et les autres plus simples et sains.

Bon et puis, il y a ma fameuse "Quête du Graal".
J'ai pris une semaine de congés pour m'y consacrer à fond, et j'ai même appelé la famille à la rescousse... Puéril ? Peut-être mais j'assume... J'avais besoin qu'on me tire vers le haut et qu'on m'aide.

Ceci dit, je ne sais pas encore si les recherches ont été fructueuses.
Avec une angine, une niak qui s'amoindrit de jour en jour, et des tas d'horreurs visitées, on peut dire que je me serais donnée à fond... Mais qu'il faut attendre encore quelques jours pour avoir une / des réponses.

Le point positif, c'est que j'ai eu le gros coup de coeur pour deux apparts complètement différents, l'un à Paris, l'autre à Boulogne.
Tous les deux se trouvent dans des résidences récentes (quoique celle de Boulogne est carrément neuve).
Balcon pour les deux, RDC donc pas de vis à vis pour l'un, 5ème et avant dernier étage pour l'autre.
Parquet et cuisine à aménager pour l'un ; moquette et cuisine équipée pour l'autre.
Un girly, l'autre un peu moins.
Un avec parking, l'autre avec baignoire...

Hum...
"Like a prayer", je fais en sorte d'adopter la pensée positive !
Il faut bien qu'un truc bien m'arrive de temps à autre... Et puis bon, comme Valérie Damidot, j'ai pris "une semaine pour tout changer" !
... Et j'espère de tout mon coeur que ça fonctionnera.
Sinon, il faudra me ramasser à la petite cuillère...

"Keep the fingers crossed"... Ouais je sais, pas d'histoire de cul à vous mettre sous la dent...
Ca me frustre hein j'avoue parce que bon... je suis un être humain, merdeuh !
(mais c'est pour ça que Dieu a inventé le vibromasseur).

mardi 9 février 2010

"Mets de l'huile !"

Comme dirait ReggLyss...
Ouais c'est pour ma roue carrée.
J'ai raboté les angles, je l'ai poussée, j'ai essayé, mais pouf, elle s'est encore figée en route.

Il en faut plus pour me dépiter, du coup, je remonte en selle et repars la tête haute.

Pour ceusses et celles qui ne seraient pas des fervents lecteurs de mes états d'âme facebookiens, je m'explique.
Il m'est arrivé une fort mauvaise aventure ces derniers jours.

Vous n'êtes pas sans savoir que je suis à la recherche d'un nouvel appart (si vous l'ignorez, c'est que vous êtes aveugles ou analphabètes... Mais du coup, vous ne pouvez pas lire ce que vous êtes en train de lire présentement !).
Alors forcément, j'écume les sites immobiliers, dont le PAP, très instructif en matière d'immobilier quand on n'y connaît rien comme moi...

Du coup, j'ai réussi à visiter pas mal d'appartements, donc un GROS, que dis-je, un ENORME coup de coeur comme on en a rarement...
Pas trop cher (par rapport au marché, pas dans l'absolu), refait à neuf, un balcon, pas de vis à vis, une grande cuisine, une baie vitré, de la luminosité, une cave, un parking, un digicode, deux ascenseurs, une piscine même !!!!...
Bref, je me voyais déjà dans cet appart'.

La proprio très sympa, j'ai même cru à moment donné qu'elle était tombée amoureuse de moi, tellement elle me tenait trois plombes au téléphone, etc.
Du coup, le dossier est remis, elle me tient au courant, m'appelle plusieurs fois.

Mercredi dernier, elle m'annonce que tout est OK pour l'appart, et qu'elle me rappelle dans le Week-end, afin qu'on puisse établir l'état des lieux, signer le bail, et me remettre les clés.

Ce week-end, pas de nouvelle, je me dis qu'il lui est peut être arrivé quelque chose, qu'elle règles les dernières paperasses, ou plein d'autres choses encore...

Je lui passe quand même un petit coup de fil lundi, lui laisse un message, rappelle dans la soirée... elle ne décroche pas.
En rentrant chez moi, gros coup dans mon petit coeur fragile : un mail de la propriétaire... m'annonçant qu'elle a loué l'appart' à quelqu'un d'autre, qu'elle est désolée mais que c'est la vie.

Bah ouais... je vous épargne ma panoplie de gros mots que je sors uniquement pour les grandes occasions, mais le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle s'est faite insulter dans ma tête toute la soirée, la nuit d'hier et la journée d'aujourd'hui.

... Voilà, encore une expérience "malheureuse" qui ne me rassure par sur l'espèce humaine, mais qui m'en apprend d'avantage sur moi.

Malgré toutes les épreuves, je réagis avec philosophie, et je me rends compte que je suis de nature assez optimiste... puis je relativise : c'est que ce n'était pas le bon.

C'est peut-être niais, mais sans ça, je n'avancerais pas, et je resterais figée sur mes échecs. Ce qui n'est pas franchement top pour se relever et continuer d'avancer.

Parce que j'ai bientôt trente ans, que je sais ce que je veux, et que même si je ne suis pas "comme tout le monde", que je ne rentre pas dans le moule, et que ma vie n'est pas rangée.... je me sens bien comme je suis.

Et si je n'ai pas tout ce dont pourrait rêver le "commun des mortels", c'est par choix.
Rien n'est laissé au hasard, rien n'est fatal. Je suis une belle personne, je suis bien dans ma tête, et quand je regarde le futur, c'est la tête haute. Pas de place pour les regrets, ni pour les rêves inachevés.

Le prochain sera le bon !

dimanche 31 janvier 2010

Ne pas vendre la peau de l'ours...

... Bla bla bla !

Ceci dit, il semblerait que ma roue carrée tourne quand même un peu elle aussi.
Elle commence à tourner, tout ça parce que j'ai arrondi les angles. Truc de ouf, je n'y avais pas pensé plus tôt.

Est-ce que c'est la "pensée positive" qui fait ça ?
Est-ce que c'est toujours vrai, cette phrase qui dit que "c'est quand on s'y attend le moins que ça nous tombe dessus" ?

En tout cas, tout a l'air d'être en ordre dans ma vie en ce moment, et ce n'est pas pour me déplaire.

Bon par contre, si mes patrons voulaient bien m'augmenter (parce que y'en a marre d'être victime d'esclavagisme, quoi...), ça pourrait être top !

Ce qui est bien, c'est qu'en ayant vécu le "pire", j'apprécie le "meilleur".
Et c'est appréciable.

lundi 18 janvier 2010

Deumildiiissseee

Bah ça sonne pas trop mal à mes oreilles !

Dans un premier temps, on se caaaaaaaalme, je ne suis pas Damoclès, donc pas d'épée au-dessus de ma petite tête (de) blonde.
Je me pose et je réfléchis : pas besoin de foncer tête baissée, "tout vient à point à qui sait attendre".

Du coup, je vais prendre mon temps pour chercher un appart' qui me conviendra, où je me sentirai bien, au lieu d'en trouver un qui ne me plaira pas.
"Un coup de coeur" en quelque sorte.

P.S : Changez "appart" par "mec", et on a environ toutes mes résolutions pour l'année à venir :p

Sinon, moi, je la sens bien cette année.
Des nouvelles rencontres en perspective, des projets plein la tête (sauf de vacances, mais bon), une vision réaliste, mais tout de même un peu optimiste de mon entourage et mon univers.

Et le coeur rempli d'espoir.

*Respiiiiiiiiiiiiiiiiire*

vendredi 15 janvier 2010

Serenity Girl...

Ce n'est pas comme ça qu'on pourrait m'appeler ces derniers temps.
Je stresse tellement que je m'étonne de ne pas encore avoir développé d'eczéma géant (super ragoûtant, non ?)

J'ai trouvé une nouvelle occupation, après avoir abandonné mon hobby des dernières années (qui était de me faire prendre pour une conne NDLR) : Je suis à la recherche d'un nouvel appartement, un T2 plus précisément.

Et bien ce n'est pas chose facile...
Un T2, seule, donc avec un salaire, pas trop petit, pas trop moche, pas trop cher, avec un parking si possible, du chauffage central si possible, un espace cuisine un peu plus grand qu'une kitchenette, et où je puisse mettre un four, pas trop éloigné de la Capitale (pour éviter mon propre suicide social), dans la Capitale serait top.

Hum et bien là, c'est clairement trop demandé.
Alors je suis à la conquête du Graal, en espérant qu'elle soit plus enrichissante et concluante que la quête (avortée) du Prince Charmant.
En même temps, à bientôt 30 ans, j'aspire à autre chose que de vivre dans un tout petit studio d'adolescente, où je ne peux inviter personne car je ne suis pas super fière de mon intérieur...

Si vous avez des bons plans anyway, et même si j'ai ameuté à peu près la Terre Entière sur Facebook, je suis preneuse !

dimanche 3 janvier 2010

"C'est pas toi c'est moi"

Ha ça, c'est un excellent motif de rupture, mon préféré !!

Les hommes pensent être délicats quand ils disent ça, alors que c'est juste moche.

Evidemment, on l'a tous dit, mais justement, on sait bien que quelqu'un qui dit ça ne le pense pas, et est à court d'arguments. Surtout, c'est qu'il n'a pas envie de s'évertuer à expliquer des choses inexplicables, qu'on ne lui convient pas, qu'il ne nous estime pas, qu'il n'a pas envie d'aller plus loin.

Bref, coucher le premier soir avec quelqu'un, on ne m'y reprendra plus.
Avoir des "pressentiments" non plus.
Les pressentiments c'est nul, l'intuition féminine, c'est naze.
Les contes de fées n'existent pas.

L'amour, c'est beau chez les autres, dans les livres et dans les films.

Mais c'est pas grave. Je pense que ça, c'était LA leçon. La "goutte d'eau qui fait déborder le vase".
Stop les conneries, j'arrête de faire n'importe quoi, n'importe comment, avec n'importe qui.

Je vais commencer par me respecter, pour le reste, on verra bien.

2010, l'année du non-pénis :)