jeudi 29 décembre 2011

La suite.... !

Il n'a pas disparu de ma vie.
Au contraire, il s'y installe lentement mais sûrement.
Et moi, je me protège.
Parce qu'il est loin.
Parce qu'il n'est pas libre.
Parce que je ne peux m'empêcher de penser au jour où... il partira.

Mais il est bel et bien présent.
Tous les jours, toutes les heures (ouvrées... de 9h à 19h, du mardi au samedi).
Et NON je ne parle pas des horaires de la Poste. Mais juste de Lui.

Il remonte bientôt à la Capitale.
Reste à savoir si cette fois, il assumera d'avoir envie de passer du temps avec moi et rien qu'avec moi. Juste un peu. Juste tous les deux.

Rien n'est compliqué, ni dans les faits ni dans ma tête.
Il est présent, je le suis aussi.
Et ce n'est pas pour autant que ma vie s'est mise en pause.
Au contraire, les choses bougent plus vite qu'avant. J'ai la tête pleine de projets et des étoiles dans les yeux.
Il me booste sans me brider.
Tous mes sens sont en éveil.

... Et si c'était ça ma formule du bonheur ?

dimanche 18 décembre 2011

L'art de se foutre dans la merde... Tome 2

Ce n'était pas prémédité.
Ca s'est fait doucement.
Au début, il ne s'agissait que d'un jeu. Un stupide jeu de séduction entre lui et moi.

Les choses ont traîné en longueur, au début on ne se cherchait pas vraiment.
Juste des mots en l'air, comme ça, des petits traits d'humour.
Puis sont arrivés les points communs, les réflexions communes.
La découverte de l'autre.

Il a commencé à m'appeler une fois, puis deux, puis... puis puis puis...
Les SMS fusaient.
Et on s'est laissé entraîner comme deux ados, toujours plus profondément dans la "connerie".
Une attirance mentale, une complicité, comme l'impression de se comprendre sans même se parler.
Au-delà de son physique, c'est Lui qui me plaît.
C'est ce qu'il est, son intelligence, sa répartie, ses mots tendres, son empathie.

Et il est monté sur Paris.
Une nuit avec moi.
On s'est tourné autour pendant de nombreuses heures.
Je n'osais pas le toucher, il n'osait probablement pas m'effleurer non plus.
On a fini par se coucher et les gestes tendres sont venus naturellement, progressivement. Comme si tout ceci était juste évident.

Le lendemain, il est parti avec sa valise chez son ami. L'homme marié.
Je me suis mis dans la tête que c'était mieux comme ça.
Qu'après tout, je m'en foutais.
Que tout ceci n'était qu'une alchimie du cerveau et que ne pas le revoir avant son retour dans le sud ne changerait rien à ma vie.
Que c'était tout.

Mais hier, pour sa dernière nuit parisienne... je n'ai pas pu le laisser partir sans le revoir.
On a mis des mots sur nos pensées.
Des gestes sur nos sentiments partagés.
C'était beau, c'était fort.
Le déchirement... a été de le laisser à la Gare.
Pour qu'il reparte dans son cocon familial. Avec femme et enfant.

Ce sentiment d'échec. Encore.
L'impression que pour le coup, il avait tout pour me plaire.
Il est un peu dans mes tripes, beaucoup dans mon coeur.

Et la suite ? Je la connais déjà.
Il va s'éloigner, en se disant qu'il est con.
Il va se dire qu'il n'aurait jamais du s'attacher.
Il va s'évincer de ma vie petit à petit ou brusquement.

Et si tout ça est écrit putain ?
Donnez-moi ce foutu livre de ma vie, que je brûle quelques pages qui font beaucoup plus de mal que de bien au final.

Il ne quittera jamais sa vie pour une autre.
Mais il fera partie à jamais de la mienne.
Car c'était écrit dans ce foutu bouquin.

samedi 29 octobre 2011

L'art de se foutre dans la merde...

Je ne sais pas pourquoi, mais depuis quelques temps, je rencontre les hommes par paire.
Rassurons-nous lorsque je dis "par paire", c'est qu'ils arrivent toujours comme ça dans ma vie. Rien de sexuel. D'ailleurs, ils ne se connaissent jamais l'un et l'autre.

Ce qui est flagrant aussi, c'est que c'est à chaque fois les mêmes profils :
- Le gentil, le mec bien, attentionné et prêt à pas mal de choses pour me séduire,
- Le "bad boy", inconstant, qui n'a clairement rien à foutre de ma trogne, mais qui me dit le contraire.

Forcément, je vous le donne en mille, c'est TOUJOURS le bad boy qui me fait sauter la tête.

Alors cette fois-ci, il s'agit... attention roulement de tambour.... TADAM !!! d'un homme marié !

Rencontré sur un site (va VRAIMENT falloir arrêter un jour cet aimant à emmerdes), le monsieur est plus que charmant.
Ça faisait un moment qu'il essayait de me contacter, toujours sans succès, car pour le coup il s'agit d'un site de rencontres par Webcam.
Et qui dit Webcam dit image ET son !!

... Le jeune-homme au physique avantageux il faut bien le dire, était toujours entouré d'un fond sonore assimilable à des gazouillis de bébé.
Du coup, ayant remarqué sa jolie plastique mais aussi son enfant, j'ai été intelligente et je me suis dit "Courage, fuyons !"

Jusqu'au jour où je l'ai entendu discuter avec une nana, que la conversation m'a eue l'air plus qu'intéressante. Jusqu'au jour où il est venu une énième fois me parler, et que j'ai répondu.
S'en est suivi un Week-end interminable, à échanger sur nos vies respectives, pendant les heures du jour et de la nuit.

J'ai appris entre autres qu'il était marié "mais qu'il n'aimait plus sa femme et qu'il n'était pas heureux", qu'il restait pour son enfant.
Bref, le blabla quotidien des mecs mariés infidèles.

Et moi, telle une adolescente, j'ai voulu donner sa chance au produit (déformation professionnelle ?).
Du coup, me voilà embarquée dans une histoire aussi tordue que passionnée, avec une envie grandissante de rencontrer l'objet de ma convoitise.
Il faut dire qu'il sait (me ?) parler (aux femmes). Et que nous convenons d'un RV le vendredi.

Forcément, après une semaine à s'être chauffés et monté le bourrichon, lorsque la rencontre réelle est arrivée, mon cœur s'est emballé et le sol s'est dérobé sous mes pieds.
Toute l'attirance qu'on pouvait avoir "en faux" a été décuplée, et nous avons vécu une journée inoubliable, pleine de tendresse, de tension sexuelle, de rires, de complicité.
Une jolie journée qu'il a fallu écourter pour qu'il rentre dans "sa prison" comme il aime à appeler son domicile conjugal.

Ça fait trois jours, j'ai des nouvelles tout le temps, mais j'ai le cœur gros.
Comme il le dit lui-même, "tu es belle, tu es intelligente, marrante, tu as un pur appart, tu es célibataire... qu'est-ce que tu vas foutre avec un mec marié qui a un bébé ?".
La seule réponse à peu près intelligente que j'ai pu lui apporter a été "Tu as raison. Oui tu as raison. Mais je ne sais pas quoi répondre à cela".

Alors voilà. Je ne sais pas si on va se revoir, ni quand.
Sa femme, surnommée "le maton" ou "la snippeuse" par ses soins ne le laisse jamais sortir seul. Évidemment, elle est amoureuse, et elle a bien trop peur qu'il s'échappe avec une autre.

Moi, je me demande bien dans quelle galère je me suis encore embarquée, et tout compte fait, je préfèrerais peut-être qu'il disparaisse de ma vie comme il y est entré.

Mais pourquoi ce putain de FEELING et cette attirance de malade mental n'arrive que dans des situations impossibles ???
Pourquoi je ne suis pas attirée par son congénère célibataire et journaliste de 32 ans, qui me promet monts et merveilles après un seul dîner au resto, qui me dit qu'il sera toujours là pour moi et qu'il a envie de me rendre heureuse ?
Probablement parce que la guimauve, ça m'a toujours fait gerber.

Je suis une fille à émotions fortes.
Je suis une gamine qui vit avec son cœur et non sa tête.
Je suis une perpétuelle sentimentale qui préfère se brûler les ailes des milliers de fois plutôt que de se ranger dans la voie de la raison et vivre une histoire "banale" avec le commun des mortels.

A me lire, je dirais que c'est tout à mon honneur.
Mais que valent ces brefs moments de bonheur, de plénitude et d'intensité comparés à la profonde tristesses qu'ils engendrent à chaque fois ?

Probablement parce que je suis entière.
Et que je crois encore être celle qui va les changer.
Qui va LE changer.

Et je sais profondément que ça n'arrivera jamais.
Mais j'attends encore une fois le coup de grâce.
Que l'on m'achève. Mais vite.
Et Jay, si tu as une once d'estime pour moi, tire le sparadrap d'un coup sec.
Je n'ai jamais aimé les pinces à épiler.

jeudi 18 août 2011

Ha oui ben non en fait !

... P.R devait être une illusion, à peine une sensation comme disait Téléphone à l'époque (ou Jean-Louis Aubert ? Ou pas...).

Il est parti de chez moi un samedi soir, je n'ai plus JAMAIS eu de nouvelle.
Sauf quand je l'ai appelé à la hussarde, avec un numéro masqué à une heure improbable... Bah ouais, il s'est confondu en "heeeuuu.... hmmmmm... ouais... Bonnn..."

Tout ce qu'il a su dire d'à peu près cohérent c'est "je t'avais dit que quand ça va pas, je disparaissais".
Et aussi "ha non mais je t'aurais rappelée un jour (UN JOUR ? haaaaaaa !) pour m'expliquer ou m'excuser".
Bah fais-le connard.
Il l'a pas fait.

Haaaaa mais j'avais pas compris ça du tout.

Trouducu putain, les mecs sérieux si vous lisez ça, si vous voulez juste une histoire de cul c'est simple : IL FAUT LE DIRE \o/

Bon bah y'a pu qu'à... Partir au Club Med.
Et s'en donner à coeur joie !

dimanche 14 août 2011

P.R and I.

Il y a des choses qui arrivent sans crier gare, des drames, des joies.
Pour le coup, je crois bien que je ne suis pas tombée sur une tuile. Au contraire.

Avec P.R, tout est évident, les choses sont simples, les rires francs et massifs.
Les petits moments de bonheur partagés sont autant de petites bouffées d'oxygène qui m'envahissent.

C'est donc ça la simplicité ?

Des regards complices, des blagues faciles.
On se regarde, on se découvre, on se sourit.
Avec P.R on picole, on boit de l'eau aussi.
On fait l'amour et c'est torride.
On parle de tout, de rien, de nous.
J'aime le regard qu'il porte sur moi, j'aime ses valeurs et ses principes.
J'aime qui il est, tout simplement.

Et nos moments, ils sont précieux.

Si c'est ça le bonheur, ça valait le coup d'attendre longtemps.
Et j'espère que tout ça n'est que le début, parce qu'on a encore tant de choses à découvrir l'un de l'autre...

Je me permets un peu de rêve, après tout c'est bon de se sentir heureuse !
Et l'avenir ? On s'en fout. J'ai le modjo et la confiance pour moi.

samedi 6 août 2011

L'inattendu...

Et les moments partagés.
C'est beau, c'est frais, c'est simple.
C'est respectueux, ça fait du bien, c'en est presque magique.

Les papillons de mon ventre qui s'étaient fait la malle depuis belle lurette sont revenus. Une longue migration qui en valait peut-être la peine ? Le temps nous le dira...
La carapace que je m'étais construite se fissure.

Face à toute cette simplicité, je me sens désarmée.
Pour mon plus grand bonheur j'avoue.

Ces moments précieux, je les prends, je les garde, les vis à 300%.

Ils sont d'autant plus chers à mon coeur que j'en connais la valeur.

"Pourvu que ça dure". Et même. Que ce soit de mieux en mieux.
J'aime !

jeudi 21 juillet 2011

Avis de recherche...

Un avis de recherche, pour tous ces gens qui disparaissent dans la nature, qui quittent ma vie aussi promptement qu'ils l'ont pénétrée.
A tous ceux qui ont péri dans le (mon) triangle des Bermudes.

A tous ces mecs avec qui on s'est quittés le sourire aux lèvres, sans promesse mais la tête vide. Sans douter que l'on se reverrait.
A ceux qui ne sont jamais revenus.
A ceux dont j'ai effacé le numéro car ils m'ont déçue.
Qui n'ont d'ailleurs pas tenté de me recontacter.

Allez tous bien vous faire foutre.

Une Ode à ma pathétique vie sentimentale.
Un pied de nez à la fille qui mettait tous ses œufs dans le même panier.
Une raillerie ordinaire à celle qui était trop entière.

... A ma vie sentimentale alambiquée et trop malsaine pour y voir clair quelque part.

Ce soir, je trinque au sexe et au dédain.
Et je fucke Cupidon.

Santé !

samedi 2 juillet 2011

La patience : légende ou réalité ?

Parmi mes nombreuses qualités, j'ai un tout petit défaut de rien du tout : Je suis une grande impatiente.
Lorsque je suis occupée, j'arrive à passer outre, mais dès que j'ai un creux dans mon emploi du temps, une fatigue chronique qui m'envahit, je deviens une sale gamine capricieuse qui voudrait obtenir tout ce qu'elle désire dans la minute.

J'arrête pas de pavaner en parlant de mon Idéaliste, mais j'ai toujours su qu'un jour, j'aurai le revers de la médaille, et je pèterai un câble.
Alors, et qu'on se rassure, je n'en suis pas encore là, mais quand-même, je commence à être exaspérée face à son attitude "soyons désinvolte, n'ayons l'air de rien".

J'ai du mal à faire le grand écart entre la magie des moments passés ensemble, l'intensité dégagée par le moment présent, l'état d'euphorie dans lequel nous nous mettons mutuellement, et la chute... Car depuis qu'on se connaît, nous nous sommes peu vus, mais c'est à chaque fois plus intense, et l'état d'apaisement dure toujours un peu plus dans le temps.

Cependant, je n'arrive pas à comprendre le jeu de l'élastique auquel il prend plaisir à jouer. On se voit, c'est mortel, puis il disparaît dans la nature, Monsieur est overbooké, il ne donne pas signe de vie et ne prend pas la peine de répondre à mes SMS.

Bah ouais, c'est moche, parce que moi, je ne suis pas du genre pot de colle, encore moins dépendante, mais merde, il y a un juste milieu entre l'indifférence la plus totale et un petit mot qui fait plaisir de temps en temps.

Du coup là, ça fait une semaine qu'on ne s'est pas vus et que je n'ai pas de nouvelle.
Certes, je ne suis pas dupe et je me doute qu'il va voir ailleurs si l'herbe est plus verte (notez la référence avec l'herbe et les mots employés : je n'ai pas dit "brouter l'herbe" hein... un peu de classe tout de même !). Mais bon.
Ai-je vraiment envie de ça ?
Ai-je vraiment besoin d'un pote de sexe ?

Non pas que je sois fermée, je sais que toute expérience est bonne à prendre, mais quand même... ce qui m'agace, c'est que je le sens "mordre à l'hameçon" petit à petit, je vois son regard plein de tendresse, je sens ses gestes plus tendres, j'entends ses mots qui sonnent doux à mon oreille, mais il est comme un courant d'air, un étalon indomptable qui préfère fuir plutôt que de s'avouer vaincu.

Alors certes, les trucs de couple le font fuir, il revendique son droit au célibat et à l'indépendance, mais je trouve ça un peu con.
Pourquoi faire le mort pour mieux revenir ensuite ?
Pourquoi vivre de super moments riches en intensité et inoubliables si c'est pour laisser couler l'eau sous les ponts comme pour se détacher de ces souvenirs ?

... et puis pourquoi toujours être à la disposition de l'autre ?
J'aimerais ne pas être là quand il aura envie qu'on se voie, quand il aura enfin dégagé un infime moment pour qu'on se croise, mais je ne sais pas si j'en serais capable.

L'élément salvateur : Mes vacances dans 5 jours !
... Et paf dans ses dents, je voudrais qu'il m'appelle quand je serai dans le train, je voudrais qu'il meure d'envie de me voir et que je ne sois pas dispo.
Je voudrais être une connasse au même titre qu'il est un cheval fou.

Ma bonté me perdra, mon envie de le revoir et les traces de lui dans ma tête aussi.
Non pas que je sois amoureuse, mais parlons franchement : une bonne partie de jambes en l'air avec une superbe monture doté d'une sensibilité exacerbée et d'une intelligence rare, ça ne se refuse pas, non ?!

Donc, leçon N°1 : Apprendre à être patiente
Leçon N°2 : Ne pas (toujours) céder à la tentation.
Leçon N°3 : S'occuper. Toujours et avec tout. C'est important.
Leçon N°4 : L'épilation, c'est le BIEN. Les apéros aussi.
Leçon N°5 : Dire n'importe quoi, c'est salvateur... ?!

samedi 18 juin 2011

L'idéalisme et les idéalistes...

Selon Wikipedia : "On appelle idéalisme toute théorie philosophique qui considère que la nature ultime de la réalité repose sur l'esprit, sur des formes abstraites ou sur des représentations mentales. Du point de vue de la philosophie de la connaissance, l'idéalisme s'oppose au réalisme, qui affirme que le monde externe a une existence indépendante de la conscience et de la connaissance qu'on peut en avoir. Du point de vue de la philosophie de l'esprit, l'idéalisme s'oppose au matérialisme, qui affirme que la réalité ultime est la matière."

Alors forcément, quand on est idéaliste, on plane un peu, on est au-dessus de toutes les considérations égocentriques et/ou égoïstes des autres, et surtout, on vit pour soi.
Ce qui en soi justement n'est pas déconnant.
Sauf qu'il ne faut pas oublier qu'on vit dans un monde moderne, qui est composé de pas mal de gens matérialistes, égocentriques et égoïstes justement.

Moi, j'ai rencontré un idéaliste.
Il est grand, il est beau, il sent bon le sable chaud (et ce n'est pas un légionnaire, en plus !).
Il a une pensée singulière, une autre façon de voir la vie que les gens "normaux", et je suis sûre qu'il a plein de choses à m'apprendre.
Seulement, il faut absolument que j'arrive à dématérialiser les choses de la vie quotidienne, et je vais être obligée d'apprendre à être plus philosophe, justement.

Jusqu'à présent, je me suis toujours plaint rapport au fait que les hommes ne rappelaient jamais, ou qu'ils étaient trop bêtes pour me plaire, ou alors qu'ils se posaient des questions métaphysiques quand il n'y avait pas lieu de s'en poser.

Aujourd'hui, je suis face à quelqu'un de foncièrement bon (apparemment, puisque je ne le connais pas plus que ça en fait), mais qui est un électron libre.
Difficile de se caler au rythme de vie du Monsieur, tant et si bien que je fais la mienne (de vie), et que si on arrive à se croiser c'est bien. Sinon, tant pis.

Les points positifs pour le moment :
- Je continue de faire ma vie comme s'il n'était pas là, il ne me pollue pas l'esprit car je sais que je le reverrai.
- On partage des beaux moments tous les deux, on s'amuse bien, on échange, on picole, on boit du thé aussi.
- Je suis toujours dispo pour mes potes / copines / amies,
- J'ai l'esprit libre au boulot parce que....

Les points négatifs :
- Il donne très peu de nouvelles, ce qui dans un sens est bien parce que je ne me préoccupe pas de lui, mais... globalement, je ne sais pas ce qu'il a dans la tête,
- C'est lui qui décide de quand il veut qu'on se voie, et il a des règles à la con genre "on se voit une fois tous les dix jours".
- Du coup, et forcément, ça peut être aussi considéré comme un point positif : On ne risque pas de s'attacher à ce rythme.

Aujourd'hui, je ne sais pas où cela va me mener.
Mais j'aime cette légèreté, ce sentiment de liberté tout en sachant qu'il y a un peu de tendresse quelque part, et qu'il y a aussi de la place pour lui dans ma vie et un peu pour moi aussi dans la sienne.

dimanche 29 mai 2011

Les meilleurs partent...

... Les planches pourries restent !

Encore une icône du bureau qui se barre.
Tout va commencer à devenir moins simple, plus tendu et j'ai intérêt à me préserver. Beaucoup.
"Protège-toi et ne laisse pas les autres te bouffer."
Voilà ses mots avant de partir.

Alors rien que pour ça, je vais tout déchirer, et rien ni personne ne m'empêchera d'avancer.

lundi 23 mai 2011

L'être humain, ce gros bâtard...

Il y a des jours comme ça où rien ne va, où on va se rendre compte au fur et à mesure de la journée qu'on aurait mieux fait de rester couché.
Et à mon grand désespoir, ce n'est pas encore cette fois que je vais être rassurée sur la condition humaine.

Je parle peu de boulot sur ce blog, et pour cause, il est censé relater mes mésaventures sexuelles et/ou amoureuses.
Du coup, on pourrait se dire que Mimi, elle n'a la poisse que dans sa vie perso, et que c'est comme tout, la balance penche toujours plutôt d'un côté que de l'autre.
Mais en fait, non.
Enfin, si mais non.

Pour résumer la situation, ça fait trois ans que je suis dans mon taf, et je m'étais fixée pour objectif d'évoluer avant les 3 ans fatidiques, sans quoi je prenais mon Cv et ma lettre de motiv', et je partais faire ma vie ailleurs.

Le fait est que, pile poil trois ans après mon entrée dans ma boîte actuelle, j'ai eu une promotion, et une belle. Enfin, on dira plutôt que j'ai eu une promotion plus qu'étonnante, mais bon. "Tout est une question de bon moment et de bon endroit". Et si je ne peux pas y être en amour, il se trouve que j'y ai été au travail.

Depuis mon premier jour dans cette société, j'ai été très proche d'une collègue arrivée en même temps que moi. Elle était juste au-dessus de moi dans la hiérarchie, mais elle m'a toujours considérée comme son égale.

Jusqu'au jour où le drame se produit : Mon évolution, pour devenir sa binôme, son égale, sa partenaire professionnelle.
Le jour où mon chef a annoncé ma promotion au reste de l'équipe, j'ai été effarée de voir qu'en lieu et place de félicitations, j'ai été accueillie par un abasourdissement général.

Ma collègue la première, qui est devenue une vraie peste depuis ce jour : Aucune passation de dossier, des remarques désagréables, un mépris, du dédain...
Je n'ai jamais compris ce changement de comportement, et n'ai jamais pu lui en parler tant elle semblait distante et froide. Du coup, j'ai laissé passer l'orage, en me disant que ça irait mieux plus tard.

Aujourd'hui, ça fait 3 mois que j'ai eu ma promotion et l'abcès a été crevé.
Elle m'a prise à part en ce "beau jour" de Mai, et m'a balancé tout ce qu'elle avait sur le coeur...
Depuis que j'ai été promue, j'ai : "attrapé la grosse tête", "mal parlé", "choisi mon camp" (ndlr : "choisir mon camp" signifie "manger avec d'autres personnes à la cantine que le petit groupe habituel depuis trois ans"), etc, etc.

Si c'en était resté en one-to-one, j'imagine que ça m'aurait blessée, mais je suis encore assez intelligente pour faire la part des choses et réfléchir sur mon comportement.

Là où le bas blesse malheureusement, c'est que son ressenti a fait tâche d'encre, et qu'elle en a parlé à tout le bâtiment.
Que "les gens pensent la même chose que moi", et même que des soirées à l'extérieur sont organisées dans mon dos, sans que je sois conviée.
Et c'est bien ça le plus moche... Eloigner des gens de moi pour des conneries de bac à sable.
Elle a même réussi à faire dire à un ancien collègue qui a quitté la société depuis un an qu'il ne voulait plus jamais me voir.
Alors qu'il était mon binôme et qu'on s'entendait comme cul et chemise.

Une balle en pleine tête.
Du mal à digérer.
Le coeur à vif.

Elle dit que cette "discussion" (à sens unique, les larmes et le poignard dans les tripes m'empêchaient de parler) lui enlève un poids.
Moi, elle m'assomme.
Et ça bien sûr, tout le monde s'en fout.

Demain j'ai le RV le plus important de ma carrière d'acheteuse et je suis au 36ème dessous, à me dire que les gens sont vraiment tordus et malveillants.
Et j'en ai marre.

Pour une fois, je desserre les dents et je demande un tube de vaseline, histoire que ça fasse un peu moins mal.
Marre de se faire enfiler gratos par tout le monde, dans la vie, dans le boulot, en amour.

Qui est le prochain qui va m'en mettre plein la gueule... ?

dimanche 22 mai 2011

Les Papas...

Quand j'étais gamine, il y avait un dessin animé qui s'appelait "Les Papas".
Le générique disait "des Papas y'en a des tas, Papa poule ou Papa Chat..." nia nia nia...
Bah moi en ce moment, j'approfondis ma connaissance des Papas.

Je grandis (parce que je n'aime pas dire que je vieillis), du coup il n'est pas rare que j'en rencontre.
Et en ce moment, plus que d'habitude.

Jusqu'à présent, personne ne m'avait caché qu'il était Papa, parce quelle que soit l'histoire avec la Maman justement, il y a un facteur commun à tous ces hommes : ils aiment leur(s) enfant (s).

Jusqu'à ce que je rencontre l'Exception. Celui qui va jusqu'à cacher la présence d'un enfant "parce que sinon, nous n'en serions pas là où nous en sommes aujourd'hui".
Ben oui alors déjà, le fait est que nous n'en sommes nulle part, et que grâce à ça, nous n'en serons jamais nulle part non plus, en fait.

Tout ça pour dire que le temps passe, que les gens évoluent, et que j'ai bien l'impression d'être la seule conne à ne rien construire avec personne.

Certes, je suis exigeante.
Certes, je suis prise par un métier chronophage.
Certes, je ne suis pas un canon, je n'ai pas la taille mannequin ni la Classe Américaine.

Tout ça, j'en suis consciente. Mais quand-même.
Quand je vois le paquet de greluches casées, la tonne de couples qui se forment à la pelle dans n'importe quelle soirée parisienne, quand je vois que très souvent, une rencontre se transforme en LA rencontre et que moi, je rame... Et bien je commence à me poser des questions.

Alors OK, j'ai plusieurs réponses réconfortantes, et celle qui me revient le plus souvent, c'est celle-là : "c'est parce que ce n'était pas Moi. C'est parce que ce n'était pas Lui".

Bon OK certes, je ne suis pas l'Elue. Et ils ne le sont pas non plus.

Moi, je croyais naïvement que dans la vie, tout était plus ou moins mathématique.
Que lorsqu'on se donne les moyens de, lorsque l'on essaie, lorsque l'on est curieuse et qu'on ne se ferme pas de porte, les choses se font naturellement.

Un ami me répète souvent depuis quelques temps "Putain mais toi, t'as vraiment pas de chance, quand-même."... Ah parce que le facteur "Chance", je ne l'avais pas pris en considération.
Mais il a raison.

Parce que des rencontres, j'en fais.
Des hommes, j'en croise. Des qui me plaisent aussi, même si c'est assez rare.
Par contre, tomber au bon endroit au bon moment avec la bonne personne, alors là... Ça n'arrive jamais.

But why... ?

lundi 11 avril 2011

*** Liste non-exhaustive ***

Après les psychopathes, les menteurs, les manipulateurs, les fous de sexe, les accros aux clubs échangistes, les 2 de tension, les morts de faim, les prêts-à-tout-pour-se-marier, les infidèles (dans le sens c'est MOI la cocue), les paumés, les Papas... J'ai expérimenté pour vous :

LE MEC MAQUE QUI A UNE PETITE AMIE ENCEINTE !!!!

... Tadaaaaam !!!!
J'ai hâte de savoir quelle va être la prochaine tafiole qui va croiser mon chemin, mais tout ce que je peux dire, c'est que c'est plus de la rage que j'ai en moi... mais limite de la haine.

Non mais putain mais ils ont QUOI sérieux, ces putains de mecs, à avoir une BITE dans la tête ??????

Donc, pour la faire court, parce que c'est pas non plus la peine d'épiloguer 300 ans sur cet épisode malencontreux...
Je suis partie en folle soirée avec une amie ce WE, et j'étais attirée par un mec super sexy avec une gueule de beau gosse, mais clairement trop sexy pour être honnête. A côté de ça, un de ses collègue, très discret, très timide, dans son coin... avec un potentiel certain...

Bref, je dégage le sexy man de ma tête, et commence à m'intéresser gentiment au mec discret... Chemin faisant, on se retrouve en after à plusieurs à la maison, Monsieur m'embrasse, tente (en vain) de dormir à la maison, m'envoie des SMS pour me dire qu'il est bien rentré, que c'est quand qu'on boit un verre, me dit le lendemain qu'il est parti en WE en Normandie, mais qu'on se tient au courant de nos dispos pour se revoir, et bla et bla et bla...

... C'était sans compter les ragots des collègues, qui m'ont appris le lendemain que cet homme si discret et si charmant était maqué, et qu'en plus de ça, sa nana est enceinte...
Bah tiens, qu'il cherche à me revoir, il ne va pas être déçu !

... J'vous jure, y'a des baffes qui se perdent parfois...

Saloperies de mecs. Je les hais autant que je les aime.

dimanche 20 mars 2011

No Woman No Cry...

... J'ai été étonnée d'une petite conversation que j'ai eu tout à l'heure avec une amie. Je me suis mise à pleurer. Ça ne m'était pas arrivé depuis des lustres. Pouf comme ça, sans crier gare, des larmes se sont mises à couler, mon cœur s'est serré d'un coup d'un seul.

Aussi déstabilisant que libérateur, je commence à comprendre où sont les priorités dans ma vie, et elles ne se situent pas tout à fait là où j'ai pu mettre le curseur ces derniers temps.

Se voiler la face, c'est comme jouer au boomerang, et au final, nos peurs nous reviennent toujours en pleine face. Ça fait mal. Mais aussi du bien.
Reste plus qu'à arrêter de procrastiner parce qu'on n'a qu'une vie !

dimanche 13 mars 2011

Les Sex Friends....

... J'avoue que j'ai un peu de mal avec cette notion, au même titre que celle de "plan cul".
Je ne sais pas si c'est parce que je suis entière, ou juste parce que je ne suis pas "normale", mais je n'ai jamais pu avoir de sex friend...

La seule chose qui m'est familière, c'est le One Shot.
On consomme sur place ou à emporter, on est poli, on se dit au revoir et on ne se revoit plus. Un bon compromis dans ma vie de célibataire, qui permet de vivre pleinement sans se poser de question. L'essentiel étant d'être clair(e) avec l'autre.

Les mecs quant à eux ont un petit problème avec l'honnêteté, et rares sont ceux qui vous avouent que vous êtes une partenaire sexuelle à usage unique. Ils laissent toujours planer le doute, vous font croire que vous vous reverrez, mais en fait que nenni.
Ce genre de comportement a le don de m'agacer profondément. C'est vrai quoi, à quoi bon faire semblant, être hypocrite, quand on sait qu'on n'a pas envie de revoir l'autre ? Ça, c'est moche !

J'avoue que parfois, je me comporte comme un mec (mais un mec sain), et que j'utilise certaines de mes "conquêtes" juste pour l'hygiène. Ceci dit, lorsque ça m'arrive, je ne suis on ne peut plus claire, et surtout je ne fais pas semblant d'être bien avec l'autre...
Ça choque parfois, ça fait rire certains, mais quand je suis dans l'optique de juste un "one shot", il peut m'arriver de partir de chez l'autre à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, une fois les festivités terminées. Tout ça parce que je ne sais pas faire semblant, et que je me sens mal à l'aise à l'idée de rester chez quelqu'un que je n'ai pas l'intention de revoir...

Par contre, en ce moment, j'ai un peu l'impression de développer une relation de "fuck friend" avec un mec rencontré sur un site... On entretient une espèce de relation "épistolaire cybernétique", et on s'est revus hier. Il est passé à la maison, on s'est payé une bonne tranche de sexe, de tendresse, on a pas mal discuté, puis chacun a vaqué à ses occupations...

La première fois, je suis repartie de chez lui en m'imaginant une relation "normale" avec lui. Chemin faisant, je pensais qu'il avait pris ça pour un coup d'un soir, mais il s'amusait bien à me relancer, et je lui rendais la pareille.

Aujourd'hui, je ne sais pas trop si on va se revoir, mais j'avoue que l'idée ne me déplaît pas.
J'ai cru comprendre qu'il ne voulait pas s'engager dans une relation, et que c'était probablement un queutard, mais le fait est qu'il est revenu, et qu'il a eu l'air de prendre du plaisir à me revoir...
Du coup, j'attends de voir s'il y aura une prochaine fois, mais en fait, c'est pas si mal comme relation... Les avantages sans les inconvénients, pas besoin d'être présent pour l'autre, on verra comment ça évolue mais je trouve ça bien pour l'instant.

Certes, j'imagine qu'un jour, si on continue comme ça, je serai la bonne grosse débile qui m'attache à lui, mais pour le moment, je vais bien, vous en faîtes pas.

dimanche 27 février 2011

2011 l'année de... ???

... En tout cas, le "2010 sans pénis" est révolu, et on peut dire que 2011 a commencé sur les chapeaux de roue pour moi (sur les chapeaux de roue... ??? Diantre, quelle est cette expression que je n'ai point entendue depuis des lustres ?!)

Par contre, une chose ne change pas, je tire toujours les mauvais numéros !
Le point positif, c'est que du coup, je fais vivre ce Blog (LONGUE VIE A LUI... Ou pas en fait !) !

Après le collègue de qui j'étais plus ou moins amoureuse, qui s'est trouvé une copine avec qui il part maintenant en Week-end, j'ai bien dû me raisonner et me dire que non, ce n'était définitivement pas lui sur qui il fallait que je m'attarde...
En plus de me faire souffrir et de me ronger, cette histoire n'aurait mené à rien, et je ne suis pas du genre à m'épancher sur une voie sans issue.

Au final, ce fut douloureux mais bref, et je me serai posé pas mal de questions... Je pense que d'ailleurs, je m'en poserai toujours, étant donné que le principal intéressé n'est pas du genre ouvert à la discussion, et que je n'ai pas envie de perdre mon temps à lui tirer les vers du nez...

Un jour peut-être, j'aurai le fin mot de l'histoire, et je saurai pourquoi il n'a pas voulu se mettre avec moi...
Seule question qui me préoccupe encore maintenant : "est-ce vraiment parce qu'on est collègue, ou y a-t-il une autre raison ?"

Depuis quelques temps, je me suis remise sur des sites intelligents tels que "Adopteunmec.com" ou "Attractive World".
Ce sont des sites de réseau sociaux atypiques, qu'on pourrait renommer "j'aienviedeniquersanspayer.com" ou encore "payetonrelou.net"...

Bref, sur ces sites, on fait plein de rencontres plus ou moins intéressantes, le facteur récurrent étant qu'elles sont, au moins, toujours inattendues !

Pas plus tard que vendredi soir, j'étais invitée à une soirée chez un jeune-homme que je n'avais jamais rencontré auparavant, avec plein de potes à lui. N'écoutant que mon courage, je m'y suis rendue avec mon amie Edie Britt (celle qui aime bien faire des blagues au téléphone) et un pote à elle.

L'hôte de la soirée, auteur de plusieurs mails à tendance "jeune trentenaire voulant se poser et recherchant une relation stable" s'est avéré plus que charmant et, chemin faisant, je me suis retrouvée dans son lit...
Contre toute attente, j'ai passé un très agréable moment avec lui, j'ai découvert une bête de tendresse, un peu paumé mais plein d'affection... Un pur moment de complicité et de bonheur, une jolie nuit en quelque sorte.

Et, encore une fois, après avoir été un ange toute la nuit, la matinée et le début d'après-midi, après m'avoir raccompagnée à la porte, m'avoir suivie des yeux jusqu'à ce que disparaisse dans le tourbillon de ses escaliers, je n'ai jamais eu de nouvelles. Même après avoir proposé de passer chez moi, la réponse fut nette et sans appel : "je ne passerai pas ce soir. Bonne soirée et bisous".

D'où ma question : Mais que se passe-t-il ?!

... Ok les sites de rencontre, c'est "jeveuxbiendetoiunenuitmaispasplus.com"... Mais pfffffffff quand même, on n'est pas en train de se parler de mariage ni d'engagement... Pourquoi c'est pas possible de revoir quelqu'un sans penser à quoi que ce soit qui ferait flipper n'importe quel célibataire au bout de deux jours ?!

... Je reviendrai philosopher une prochaine fois à ce sujet, mais j'avoue que j'ai du mal avec le concept de "One Shot", surtout quand tout se passe merveilleusement bien, qu'il y a de la complicité et de la tendresse...

Ma foi, l'homme est un chasseur et je me fais prendre pour une gazelle (ou un lapin de six semaines, va savoir...), je ne vois aucune autre explication.

Et moi, je ne sais pas faire ça, mais je dois être une Jean-Claude Dusse en puissance : "sur un malentendu, ça pourrait éventuellement marcher".

Se faire prendre pour une pétasse qui donne son corps à n'importe qui : CHECK.

NEEEEEEEXXXXXXXXXXTTTTTTTT !!!

jeudi 20 janvier 2011

Tomber amoureuse...

... De quelqu'un qui ne veut pas de vous, c'est de loin la chose la plus moche que je connaisse.
Et c'est encore pire quand on la côtoie plus de 60h par semaine...

Heureusement, le Week-end est là pour respirer... un peu.

L'entendre parler de ses histoires de fesses me brise le coeur.
L'entendre rire de ses frasques nocturnes, ça me fait souffrir.
Ne pas avoir eu l'occasion de discuter de "ça" avec lui, c'est terrible.
Le voir se comporter comme un lâche me tord les tripes.

Et, comme une imbécile, je continue à sourire.
Et à souffrir en silence.

"But why"...