vendredi 27 novembre 2009

Si les hommes réfléchissaient avec leur tête...

... Ca se saurait !

Il y a quelques jours, une "vieille connaissance" vient me parler sur MSN... connaissance avec qui j'ai eu des relations sexuelles il y a plusieurs mois, dont je tairai le nom, mais son pseudo, c'est le Butterfly Catcher. Je dis ça, je dis rien.

On discute gentiment, il tenait à s'expliquer sur le comportement (inadmissible) qu'il a eu avec moi. Mieux vaut tard que jamais, mais pour ce que ça m'importe... Bref, ça avait l'air de lui tenir à coeur.

Il me dit qu'on a pas mal de points communs, que c'est dommage d'avoir perdu contact, et que ça lui ferait plaisir qu'on aille boire un verre un de ces quatre.
Je précise pour la petite histoire qu'il a une copine depuis le mois de juillet, dont il est amoureux, et il placarde son bonheur sur son wall facebook. Ça dégouline de mièvrerie en veux-tu en-voilà, mais ce n'est pas la question.

On discute de tout, de rien, du fait que les hommes ne me rappellent pas.
Il me sort un truc du genre "Mais je ne comprends pas pourquoi les mecs ne te rappellent pas, même pas pour un plan cul putain, t'es mignonne, t'es sexy, t'es un bon coup, en plus t'es sympa, drôle et pas prise de tête".
Hum... C'est censé être un "compliment" dans la bouche d'un homme ?
Sa maladresse me fait sourire, après tout rien de méchant dans ses propos (heureusement que je suis de bonne composition, me direz-vous !)

Puis, un peu plus tard dans la conversation il me balance :
"Bon alors c'est OK pour aller boire un verre vendredi soir ? Et puis tu sais, si jamais t'as besoin d'être dépannée sexuellement parlant, je peux toujours te rendre service... je suis un garçon serviable".

Pfiou non mais c'est quoi ces BLAGUES là ?
Comment est-ce que je peux encore garder la foi envers les hommes si c'est toujours la même conclusion ?

Heureusement que je ne suis pas binaire, que j'ai zéro tendance homosexuelle et/ou suicidaire, parce que sinon, ça ferait bien longtemps qu'on m'aurait retrouvée pendue au lustre que je n'ai pas, mais au moins les veines coupées dans ma baignoire !

Cependant, la même question, que je me permets de poser une nouvelle fois :
C'est QUAND le bonheur, PUTAIN ? :(

Pathologie de la Patiente Zéro...

... Bon ok, cette fois-ci c'est sûr, je les cherche, je les trouve, puis après je me plains.

Dommage, cette histoire avait plutôt bien commencé.
Il était une fois, au pays de Mimi... non bon, ok...

Alors un jour, au camp d'été...
Non plus...

Bref... Un soir, je traînais sur un site de rencontres, et envoyais des mails à des jeune-hommes charmants au demeurant.
Parmi les réponses, une qui me fait tiquer plus que les autres : celle de Paolo, 30 ans, Paris Ile-de-France.
Jusqu'ici rien d'anormal, sauf que si : son prénom pas commun, déjà croisé sur une fiche FaceBook, et pas n'importe laquelle, celle de GDP (GDP, coup foireux de l'année N-1, dans le palmarès des abrutis de la vie de Mimi).
Je tique donc, à la vue de sa signature et donc de son prénom.
Je cours sur FaceBook vérifier mes soupçons : Et BOUM, la vérité dans ma figure : Paolo, c'est bien le collègue de GDP, avec qui il semble être assez pote.

Je file essayer de regarder la fiche de Paolo, et que vois-je ? deuxième "coup de massue" : on a une amie en commun, Fuse, amie de longue date.
En bon Inspecteur Gadget que je suis, je cours vers mon amie à la pêche aux infos. Tenez-vous bien, Paolo, c'est un camarade de maternelle, avec qui elle a partagé des années de scolarité dans le Chnord, jusqu'au collège.

Incredible, isn't it ?

Bref, je vais boire un verre avec le fameux Paolo, et on parle de ces coïncidences surprenantes mais pour le moins marrantes.
Moi, je l'ai vraiment pris comme "je vais boire un verre avec le pote d'une connaissance, c'est bon enfant, tranquille, pas de jeu de séduction, arrête ton char Ben Hur, on a dit qu'on était en pleine période de ramad'homme".

Mouais enfin sauf qu'une Mimi a peu de volonté face à une paire d'yeux bleus, et que si on l'attrape à l'entrée du métro pour l'embrasser sauvagement, elle n'a d'autre solution que de se laisser faire.

FAIBLE FEMME C'EST VRAIMENT PATHETIQUE !!! (mais en fait non, c'est juste la vie, au diable les conventions).

Bref, je me moque de Paolo qui a loupé le dernier métro, et il me dit "ha c'est trop dommage, va falloir que je te raccompagne chez toi !"

"Ha bah ouais dis donc, c'est dommage, surtout que moi j'ai envie d'aller roupiller toute seule parce que demain y'a école"... Enfin ça, c'est ce que la petite voix à l'intérieur de moi a dit... Parce que ma voix à moi a répondu un truc du genre "BON D'ACCORD".

Mimiiiiiiiiiiiii qu'est-ce qu'on a dit ?
"Ne pas coucher avec un garçon le premier soir, ça fout en l'air toute crédibilité dans ce que tu pourras lui raconter par la suite"
"Mais oui mais ça s'est fait super naturellement"
"Bah on s'en fout ma foi, tu verras bien la suite de l'histoire"...

Enfin bon... Voilà, Paolo dort chez moi, le charme italien opère, on ne dort pas.
(entre parenthèses, je suis pour la journée de rattrapage des nuits blanches barroques... mais c'est une autre histoire !)
On se réveille, on se dit au revoir, comme c'est mignon. ou pas.

On garde contact, il part en WE dans sa famille, je fais le Pont à mon tour et on ne se voit pas.
Je rentre de "vacances", lundi soir, il dort chez moi.
Bon feeling, bonne nuit, bonnes blagues (ou pas, mais moi ça me fait rire !), bon coup... Ouais ouais ouais.

On se réveille, on part bosser, on se dit au revoir, c'est doux c'est chaud, ça sent bon le sable chaud. ou pas.

Plus trop de nouvelles, plus trop de contacts, on ne s'est pas revus.

Fastoche.

Au suivant, donc ! Ou pas.
Je suis blasée. Je suis dépitée. Je voue une haine de plus en plus féroce envers la gente masculine.
D'un autre côté, je ne peux m'empêcher d'aimer les hommes.

La poisse.

mercredi 25 novembre 2009

Réouverture de la chasse aux con(ne)s...

... Et grand ménage.
Exit les gens néfastes, après une longue réflexion, je préfère être seule que mal accompagnée.

Bye bye boulets, bonjour la vie.
Bonjour MA vie.

dimanche 22 novembre 2009

Les gens sur qui on peut compter...

... ne sont clairement pas ceux à qui on aurait pu penser lorsque tout allait bien.

Ce ne sont pas ceux qui commentent à tour de bras vos status FB (je dirais même que ceux-ci sont les pires : "et si je disais un truc drôle pour me faire remarquer ?")

Ce ne sont pas non plus ceux qui, lorsque vous leur demandez conseil avec un regard plein de détresse, vous répondent avec un haussement d'épaules et un regard compatissant.

Bizarrement, les gens sur qui je peux compter sont ceux que je ne vois pas souvent, mais qui sont plein d'empathie et d'attentions non calculées.

Et je les remercie.

dimanche 15 novembre 2009

Le Mur de Briques...

C'est un concept que je ne connaissais pas, mais qui m'a fait bien marrer, alors je me dois de vous raconter ça.

En fait, samedi dernier, j'ai passé la soirée avec des amis niçois, et ça parlait de cul (forcément...).
Parmi eux, deux jeunes hommes tout à fait fréquentables, qui nous ont expliqué une idée assez intéressante, celle du "mur de briques".

En effet mesdames et mesdemoiselles, j'ai appris qu'il se passe tout un tas de trucs dans la tête de nos hommes lorsqu'ils nous font l'amour (j'avoue, cette partie là n'est pas un secret), mais encore plus quand ils ferment les yeux.

Et oui, sachez que lorsque votre homme ferme les yeux au moment où vous accomplissez l'acte, son cerveau se met à fonctionner à 10 000 , mais pas comme le nôtre.

Effectivement, une femme aurait tendance à fantasmer, se faire des films (pornos) dans la tête au moment où elle ferme les yeux, à se concentrer pour prendre du plaisir... Alors que nos hommes eux, ferment les yeux pour... FAIRE DURER LE PLAISIR !!!

Et forcément, pour faire durer le plaisir, il faut penser à tout sauf à ce qu'on est en train de faire, et encore moins fantasmer sur Katsumi ou je ne sais quelle autre Scarlett Johansson...
Et je vous le donne en mille, à quoi pensent-ils ???
AU MUR DE BRIQUES !!!!!

Et oui, et voici l'idée, made in Ken :
"Lorsque je fais l'amour à Barbie, et que tout va trop vite pour moi, je ferme les yeux, et je pense que je construis un mur de briques : je pose une brique, je mets du ciment, je pose une brique, je mets du ciment.... jusqu'à construire un mur" !!!

... Ben bravo, quelle belle découverte !

La dernière fois que j'ai fait l'amour, mon partenaire n'a pas fermé une fois les yeux, j'ai bien fait attention... Il n'a donc pas construit de mur de briques !
Mais je veille au grain, et ne manquerai pas de lui demander si je suis la brique ou le ciment si d'aventure il lui arrivait de fermer les yeux.
Quite à passer pour une folle, ça aura le mérite de me faire rire !

mercredi 11 novembre 2009

L'histoire qui se répète...

... est-elle une fatalité ?
Je ne sais pas, mais tout ce dont je suis consciente aujourd'hui, c'est de la boule au ventre, de cette peur qui m'envahit et qui grandit en moi telle un Alien.
La peur n'évite pas le danger certes, mais j'aimerais ne pas avoir cette sensation d'échec avant même qu'il ne se produise.
J'aimerais déjà être à la fin du Week-end pour connaître le dénouement de tout ça, avoir une boule de cristal afin de partir plus sereine...

Je croise les doigts pour que l'histoire ne se reproduise pas. Pour qu'elle ne soit pas une putain de fatalité.

Le bonheur, ce n'est pas que pour les autres, j'y ai droit aussi et je compte bien en profiter (un jour).
Pour le moment, il ne me reste plus que :
- mes yeux pour pleurer
- profiter des jours loin d'ici
- ne pas penser à la fatalité
- imaginer un avenir brillant
- y croire, pour une fois.

Et même si. Même si ça arrive, et bien j'aurais vécu ce que j'avais à vivre.
Et ça aura été bon.
Mais quand même.
Ma vie ne peut pas être construite que de choses éphémères....
Parce que, selon moi une chose éphémère + une autre + une autre + ... + une autre = plein de choses éphémères, qui, mises bout à bout ne servent pas mon bonheur.

Alors... alors je croise les doigts et je revêts ma plus belle tenue d'optimiste, je vis le jour présent, et je pars profiter des miens.
Car la vie n'est pas éternelle.

samedi 7 novembre 2009

La nuit porte conseil...

... Après, elle apporte peut-être de MAUVAIS conseils, mais quoiqu'il en soit, c'est vrai que pour le coup j'ai réfléchi (et que du coup, j'ai mal doooooorrrrmmmmmmmiiiii !).

Bon toutefois, j'ai encore la tête pleine de questions, mais, si je fais tout ce que j'ai envie de faire et que je le fais à l'instinct, je n'aurai pas de regrets.

C'est ce que je me dis toujours, et puis "qui ne tente rien n'a rien".
Par contre, je pense que mon sixième sens est un peu en vrac, et qu'il est complètement déphasé (pour tout ce qui m'arrive dans ma vie)...

En tout cas, "Wait and see".
Mais c'est vrai que la patience, ce n'est pas mon trait de caractère le plus marqué !