dimanche 20 mars 2011

No Woman No Cry...

... J'ai été étonnée d'une petite conversation que j'ai eu tout à l'heure avec une amie. Je me suis mise à pleurer. Ça ne m'était pas arrivé depuis des lustres. Pouf comme ça, sans crier gare, des larmes se sont mises à couler, mon cœur s'est serré d'un coup d'un seul.

Aussi déstabilisant que libérateur, je commence à comprendre où sont les priorités dans ma vie, et elles ne se situent pas tout à fait là où j'ai pu mettre le curseur ces derniers temps.

Se voiler la face, c'est comme jouer au boomerang, et au final, nos peurs nous reviennent toujours en pleine face. Ça fait mal. Mais aussi du bien.
Reste plus qu'à arrêter de procrastiner parce qu'on n'a qu'une vie !

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